Myra rentra calmement dans la grande salle lumineuse, cette fois ci elle ne fut pas impressionner bien au contraire. La jeune femme suivait les cours depuis déjà quelques jours et elle s’était rapidement habitué a l’ambiance. Elle s’assit sur la gauche de la salle au premier rang, là ou la lumière ne aveuglé pas. En effet ses yeux bleus gris avait beau être assez foncée il était quand même extrêmement sensible a la luminosité.

Elle s’assit doucement sans adresser de regard aux autres élèves déjà présent. Myra avait passé une journée éprouvante, courant a droite ou a gauche pour régler tel ou tel chose, assister a tel ou tel cour …. Elle profita donc volontiers de se moment de calme avant que le court ne commence. Mais se n’est qu’après avoir sortis ses affaires qu’elle se rendit compte que dans la salle il y avait un fond de musique traditionnel japonaise. La jeune femme aux cheveux d’ébène jeta un regard intrigué vers le bureau du professeur.

C’est alors que Myra remarqua le professeur. Elle ne l’avait même pas vu en passant surement la fatigue. Ce dernier était en train de ranger de manière très méticuleuse des choses sur son bureau, Myra ne put dire de quoi il s’agissait car il se trouvait juste devant et lui cachait la vue. Même si il lui tournait le dos, elle vit du premier coup d’œil qu’il posséder une musculature fine et des longs cheveux noir aux reflets violine.

Le professeur se retourna, laissant apparaitre un visage froid et un regard glacial qui fit frissonner Myra. Il croisa les bras attendant le silence quand celui-ci se fit il eut un hochement de tête et marqua son nom au tableau en disant :

KYO : Tout d'abord, bonjour. Et bienvenue dans cette nouvelle session du cours que vous nommez Sciences Occultes.

La jeune femme en profita pour admirer les différentes poupées et accessoire qu’il avait rangé sur le bureau. Puis elle reporta son attention sur l’homme lorsqu’il dit :

KYO : Je suis Kyô Fushou, votre professeur. Et cette année, j'envisage de vous faire sortir de la médiocre noirceur d'adolescents en mal d'amour où vous vous trouvez.

Myra l’observa avec beaucoup d’attention, il s’était pencher sur son bureau, avait attrapé la plus petite poupée et avait enroulé un cheveu autour de sa jambe. La jeune femme ne put réprimer le frison qui lui parcourut le dos. Elle se sentait de plus en plus mal à aise sans vraiment savoir d’où venait se sentiment. Puis le professeur continua :

KYO : Malédictions. Spiritisme. Potions. Filtres. Sorts de mort. De maladie. De dépression. Furtivité. Ce ne sont pas des sciences, mais bien des Arts que je compte vous enseigner. Avec moi vous apprendrez que la tête compte bien plus que les jambes. De même que le sang compte bien plus que l'esprit.

Kyô Fushou posa la poupée sur un bureau au premier rang et récita une formule dont Myra en connaissais pas la langue et la poupée se mis a bougé après un bruit sec. La jeune femme en resta figée, ses sentiments se mélangeaient. Elle ne savait pas vraiment comment réagir devait elle avoir peur ? Être fasciné ? Puis il reprit :

KYO : Sachez que pendant ce cours, vos émotions négatives ressortiront, car elles sont un formidable catalyseur de magie. Vous ! Votre peur panique me gêne. Calmez-vous ou sortez, vous m'empêchez de me concentrer.

Il pointait une fille à l’autre bout de la salle. Il était vrai que même sans utilisé son don d’empathie elle pouvait ressentir la peur de la jeune fille. Myra elle-même avait du mal a contenir toutes ses émotions mais au monastère elle avait appris a les faire passé au second plan du moins en partis. Après avoir adressé un sourire méprisant a la jeune fille il repris comme si de rien n’était :

KYO : Soyons francs soyons clairs. La théorie est très importante. Elle peut vous éviter une erreur fatale. Lorsque nous passerons en pratique, vous serez vos propres cobayes. A moins que vous ne vouliez tuer "accidentellement" un de vos équipiers, je vous conseille donc de bien prendre note.

La poupée s’effondra, la magie avait du se dissiper. Myra resta étonner quelques secondes, comment est-il possible de faire ce genre de chose ? Le professeur finit son cour en disant :

KYO : Aujourd'hui, nous allons travailler sur vous. Sur vos peurs. Vous avez tous des peurs. J'aimerais vous connaître, alors présentez-vous et dites-moi selon vous quelle est votre... plus grande peur ?

Il s’approcha du rang dans lequel se trouver Myra deux trois élèves se présentèrent puis se fut a son tour, elle se leva sans tremblé et avec un regard et une voix neutre :

Myra : je m’appel Myra Litranski j’ai 17 ans je viens d’Allemagne et c’est ma première année ici. Ma plus grande peur ….. Perdre le dernier être cher qu’il me reste.

Elle se rassit. Myra avait menti avec une grande facilité, elle n’allait pas dire que sa plus grande peur était de tuer des innocents à cause de son pouvoir de transposition. Elle ne voulait pas penser au sujet plus longtemps et elle écouta les autres élèves se présenter en silence.

Myra regarda l’élève dénommer Patrol excuser pour son retard. Mais la jeune élémentaire remarqua aussitôt que son professeur était plus tendu. La jeune femme dévisagea l’arrivante que pouvoir possédait-elle pour rendre le professeur si froid de début de cours tendu. Rien chez l’élève laisser supposer qu’on avait a la craindre, a part une aura en peu étrange il n’y avait rien d’anormal. La jeune femme aux yeux bleu gris ne savait plus trop quoi penser mais a l’avenir, elle se méfierait de cette Patrol.

L’élémentaire aux cheveux noirs reporta son attention sur le professeur et pris quelques notes au brouillon qu’elle remettrait au propre un peu plus tard. Elle regarda sans grand intérêt quand il dit qu’il fallait que ses élèves aient une totale confiance en lui. Myra rigola intérieurement le seul a qui elle faisait totalement confiance était Eden. Il lui faudrait du temps pour assimiler que ce professeur si froid et maléfique ne voulais que leurs biens a tous. Elle soupira vraiment cette fois pensant : de toute façon la confiance se mérite, on ne la donne pas comme ça qu’il prouve se qu’il avance et nous verrons ensuite.

La jeune femme observa avec la plus grande attention cette fois la démonstration de l’exercice à venir. Elle fut émerveillée par la couleur violette qui l’illumina. Malgré la luminosité qui entouré la boule, l’élémentaire vent remarqua celle était un peu déformée par endroit. Le professeur semblé soudain bien plus puissant et effrayant car il dominer parfaite un pouvoir qui semblé colossal.

Elle n’avait pas de question et prit la boule de verre dans ses mains. L’exercice paraissait simple mais en réalité il était bien plus compliquer que cela. Myra devait transformer la peur de sa puissance en rage mais cette peur était plus grande que tous qu’elle avait connue et sa rage allé être identique. L’élémentaire vent avait peur de se qui risquer de se passer après tout sa peur aussi bien que sa rage était décupler par son empathie non maîtrisé.

Myra pensa alors : on va bien voir se que sa donne qui ne tente rien n’as rien. Elle ferma les yeux doucement se concentrant sur son pouvoir de transposition, sur la créature qu’elle crée, sur la folie qui s’emparer d’elle lorsqu’elle utilisé cette puissance dévastatrice. La panique envahit presque aussitôt le corps de la jeune femme qui se mis presque a tremblé. Elle était pétrifier par cette peur qui lui noué les entrailles et sont empathie qui la décuplé encore plus. Le souvenir d’horreur qu’avaient ressentis certains en la voyant ce pouvoir, l’impression qu’il avait eu que leur dernière heure avait sonné, que le gardien des enfers était venue les chercher en personne.

La jeune femme respira doucement se concentrant. Elle devait maîtriser sa puissance, ce pouvoir incroyable qu’elle avait en elle. Petit à petit sa détermination se fit de plus en plus fort, sa rage de plus en plus violente. Au bout de quelque minute toute sa peur ou presque s’était transformer en une puissante énergie de rage et de haine mêlé a la détermination de contrôler cette puissance.
Elle ouvrit les yeux, fixant la boule de verre d’un regard plus froid et déterminer que jamais. Myra projeta ensuite cette rage vers la boule. Ce qu’elle réussis sans trop de difficulté vue que projeté un sentiment était plus simple que de projeter sont âme. Hors elle maîtrisé déjà assez bien la projection de l’âme.

La boule de verre s’illumina d’une couleur bleu nuit dont l’intensité augmenter au fur et a mesure où la jeune femme projeter de plus en plus de rage dans le réceptacle. Ce dernier ne tarda pas a commencer a ce déformer. Début Myra contrôler assez bien le flux d’énergie malgré quelques petites déformations mais la peur mêlé à la rage prit le dessus sur le flux. L’énergie devient l’instable et puissante. La boule de verre se déforma de plus en plus jusqu'à exploser sans que la totalité d’énergie n’est put rentrer a l’intérieur.

Les yeux de Myra avaient soudainement virer au bleu nuit et heureusement elle avait crée une sorte de petit bouclier avant que le réceptacle explose, ce qui évita la propagation des bouts de verre et des blessure a ses camarade. Puis elle laissa retomber les morceaux de verre au sol, ses yeux reprirent leur couleur habituelle. Myra regarda ses mains en sang, les blessures bien que superficiel saignait beaucoup.

La jeune élémentaire était pétrifiée de honte, de colère contre elle-même et surtout de peur. Pourquoi la folie prenait-elle toujours le pas sur sa puissance ? Qu’allé pensait les autres ? Des larmes montèrent à ses yeux sans couler, Myra avait peur. Peur de sa punition, peur du regard des autres et surtout encore plus peur de cette puissance qui était en elle et qui n’obéissais qu’a la folie. Si ça continuer ainsi un jour, elle tuerait des innocents sans même s’en apercevoir, sans même avoir éprouver de culpabilité. Elle ne le voulait pas, elle n’était pas comme ça.

Myra resta sans bouger, le sang qui coulait de ses mains goûter et tombait au milieux des bouts de verre. Le regarde de la jeune femme regarder le sol et semblait en plus d’être au bord des larmes terrifier par sa puissance. Elle resta ainsi sans rien dire totalement absorber par ses peurs. Elle ne savait même plus qu’elle se trouvais en salle de classe sont esprit était si embrouiller par la peur, qu’elle avait oublié tous qui l’entourer.