Invité |  Sujet: "Tu es l'héritière du péché originel" Libre  Sam 21 Juil - 11:19 | |
| Oh, I see the truth in your lies.
Elle est la depuis quelques jours déjà mais elle ne réalise pas tout à fait, le temps est comme modifié, les gens sont étranges. Kiku regarde autour d'elle, être hypocrite avec un humain c'est facile, mais elle sent bien qu'eux, les élèves, les professeurs sont différents, certains d'entre eux te regarde et tu as l'impression qu'il teperce à vif, c'est assez désagréable d'avoir l'étrange sensation d'être à poil au milieu des couloirs.
Pourtant Kiku est de nature extravertie mais ici elle a perdue, depuis son arrivée, toutes ses défenses.
De plus la gamine ne supporte pas la solitude et depuis son départ du monde humain, ce refaire des "amis" n'est pas aussi simple.
Alors elle marche dans les couloirs, une journée de plus toute seule, les yeux sur le sol, elle a comprit que regarder les gens dans les yeux dans ce lycée n'tait pas la meilleure des idées. En plus d'être inhumain certain sont aussi bien timbré.
Elle se dirige vers son casier, elle a rangée quelques affaires personnelles qu'elle ne préfère pas garder dans sa chambre, on ne sait jamais, monstre peu aussi dire fouineur.
Elle arrive face à son casier et replace quelques mèches péroxidée derrière ses oreilles percées, elle fait le code du cadena, elle tire, il ne s'ouvre pas. Petit froncement de sourcils, elle recommence, il grippe et ne veut pas lacher prise.
Air agacé sur le visage angélique, elle force un peu plus et commence à s'énerver un tant soit peu.
Elle marmone entre ses lèvres pâles: " Ce machin en mousse ne va pas me mettre de mauvaise humeur dès le matin."
Kiku ne réalise pas vraiment le boucan qu'elle est en train de semé en plein milieu du couloir en tirant sur son cadena comme une forcené.
L'agacement de la jeune femme devient tel qu'elle donne un coup de poing contre la porte du casier puis reste la face à celui ci en le regardant les sourcils blanc froncé.
Apparement dans la bataille le casier est en train de gagner.
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Mizore Shirayuki  Nombre de messages : 359
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Localisation : Auvergne
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Date d'inscription : 08/04/2011
†Fiche Personnage†
Level: A+
Race de Monstre: Yuki Onna
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    (100/200) | | Sujet: Re: "Tu es l'héritière du péché originel" Libre Sam 21 Juil - 17:19 | |
| Interessante. C'était ainsi que la Yuki Onna aurait défini sa cible de la journée. Pourquoi elle? Elle ne savait pas trop, mais elle était intéressante. Une blondinette avec une tête d'ange. Physiquement, rien d’exceptionnel pour le lycée, mais son attitude la rendait attirante à notre Mizo Nationale. Elle l'avait suivi depuis qu'elle l'avait croisé au détour d'un couloir, marchant la tête basse, le regard fixé sur ses pieds. La femme des neiges n'avait pas vraiment eut besoin de se dissimuler pour la stalker, en fait. Lorsque qu'elle s’arrêta devant son casier, Mizore s'adossa à un mur proche en souriant. Elle était curieuse de voir ce qu'elle y cachait. Mais en fait, elle n'en aurait pas l'occasion, car il fallait croire que le cadenas était bloqué. D'un côté, un cadenas était un peu inutile ici. N'importe quel monstre un peu fort pouvait le briser, d'autre le fondre, ou Mizo ne savait quoi d'autre. Elle même était sure de pouvoir en ouvrir un avec de la glace. Et ne parlons pas des cadenas à clé. Décidément, Mizore aurait fait une bonne voleuse, à défaut de stalkeuse. Sa cible balance alors un coup de poing rageur au casier, qui résonne. Des regards se tournent vers elle, qui s'excite sur son casier depuis un moment déjà, mais peu s'y attardèrent. La Yuki Onna s'approcha doucement, un sourire sur le visage.
"Un petit coup de main peut-être?"
C'était l'occasion de savoir si oui ou non elle pouvait forcer un cadenas, d'ailleurs. Elle s'appuya sur le casier d'à côté, regardant la blondinette. Elle s'étonnait. Jamais elle n'aurait cru un jour être capable d'accoster quelqu'un dans le lycée, surtout après ses déboires. Mais la blondinette semblait nouvelle, puisque Mizore l'aurait remarqué bien avant sinon, si bien que celle-ci ne devait pas la connaitre.
Il est court, mais il est tard aussi !
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