rencontre des plus humaine ( pv Aono Tsukune )

Je baillais longuement, pour une fois que j'étais allée en cours, je ne pensais pas que la journée standard d'une lycéenne de seconde était aussi compliquée que ça... mais pas me dirigèrent, à leur habitude, dans un endroit que je ne connaissais pas, mais à vrai dire, je ne connaissais presque aucun endroit du lycée et de ses alentours... c'est ainsi que j'atterrie, dans ce que j'appellerais, une forêt brumeuse, en effet, les chênes centenaires et les arbres abondaient en ce lieu remplie d'une douce brume, l'endroit parfait pour décompresser, je m'assis au pied d'une chêne centenaire et sortis mon nouveau mp3 de mes poches, le mettant dans mes oreilles, je choisissais une musique douce et fermais les yeux, murmurant doucement les paroles de ma chanson. Je me perdis dans le fil de mes pensées, des plus obscures au plus sombres...

flash-bac

C'est comme ça que je me retrouvais dans une forêt identique à celle-ci, au pied d'un chaine centenaire, je fixais le sol, il me semblait plus proche de moi que d'habitude, je regardais alors mes mains et remarquais qu'elles étaient toutes petites, mes doigts étaient si potelé, je baissais mon regard et m'aperçus que je portais une petite robe pale et un manteau bleu nuit, ornée de fourrure, j'enfonçais mes doigts dans la poche et en ressortis un miroir ornée de pierre et autre objets brillant, je le dirigeais vers moi et sursauté, qui était cette petite fillette au grand yeux innocent et marron, elle portait un serre tête ornée d'un long ruban qui courait le long de ses cheveux acajou, je touchais ses lèvres, mes lèvres... c'était moi, ce fameux soir là...

Fin du flash bac

Je réouvris les yeux, des larmes au coin de l'oeil, souvenir des plus tristes que j'avais...

Akita.... tu étais mignonne ma douce petite colombe...

Tsukune essayait de s'habituer rapidement aux pièces du lycée et aux différents endroits si trouvant, mais cela était assez difficile d'autant plus qu'il devait constamment surveiller ses arrières pour que personne ne découvre son origine "humaine". D'ailleurs le moment le moins pire dans la journée pour lui est le temps de libre qu'il a entre les cours. Car même le soir, il doit faire de son mieux pour cacher son identité à ses camarades de chambre. C'est par ailleurs, à la fin des cours que Tsukune décida d'aller visiter les alentours du lycée, comma ca, d'un claquement de doigt. Il prit donc ses affaires qu'il rangea dans son sac juste après la sonnerie de fin de cours, puis juste après, il agrippa la poignée de son sac et sortie en courant de la salle de cours. Il savait qu'il n'aurait pas beaucoup de temps avant de rentrer au dortoir et il devait donc en profiter un maximum avant. D'autant plus qu'une fois au dortoir dans la chambre, il n'aura pas le temps de rêvasser.

Tsukune descendait donc les marches de l'escalier afin de se rendre ua rez de chaussée et de changer de chaussures pour celle qui met habituellement pour sortir. Après cela, il sorti du lycée et se dirigea vers un endroit qui l'avait attiré durant ses premiers jours, il s'agissait de la forêt se trouvant non loin du lycée. Il s'y engouffra donc et la brume s'épaississait au fur et à mesure qu'il avançait, mais heureusement il allait tout droit donc pour retrouver son chemin, cela serait assez facile. Il s'arrêta alors pour reprendre son souffle et avança plus lentement un peu après avoir reprit son souffle. Il vit alors une silhouette et se demandait qui cela pouvait bien être, mais Tsukune restait très prudent, car s'il s'agissait d'un youkaï il devra vite repartir de l'autre côté. D'un autre sens, il ne pouvait pas non plus l'ignorer et il choisit de s'y rendre. Plus il s'avançait et plus il trouvait la demoiselle non effrayante et lorsqu'il l'entendit parler, il opta pour lui poser une question.

- De quel colombe parlez-vous ?

Je souriais longuement, soudain pour rien, c'était ma nature, à moi, de sourire, de sourire sadiquement, de sourire pour rien... de sourire, c'était ma nature, pas celle d'Akita... Je souriais longtemps... ma petite colombe ne se débattais pas pour une fois, j'étais arrivée beaucoup plus rapidement que d'habitude, je pensais^être en mesure dela contenir quelques minutes, voir une dizaine peut être... Je respirais longuement, je n'étais plus seule, quelqu'un s'approchait de moi, des pas lent et assuré... j''attendais... un homme... je humais l'air... cette odeur ne m'était que trop familière, les humains et leur odeur si appétissant, leur âme si alléchante... et pourtant et pourtant ce sont des créatures si futiles, si détestable, elles sont si fragile, il n'est pas normal d'être aussi fragile et aussi appétissant, non, il n'est pas normal, c'est un cadeau de dieu, ou plutôt de Lucifer, mon cher ami Lucifer... Il arrivait à ma hauteur, il fallait que je fasse semblant d'être surprise, mais il était si prévoyant...

De quel colombe parlez-vous ?

J'éclatais de rire tant sa question était stupide, oui, stupide tout comme lui, je le dévisagais de haut en bas, un jeune homme normal, plutôt beau, enfin dans la limite de la beauté qu'un humain peut avoir bien entendu !

De quelle colombe ? Mais enfin ! c'est évident ! d'Akita ! de ma chère petite colombe chérie !

Je me levais précipitament pour me retrouver à sa hauteur... Akita, un jeune humain à vrai dire, tout comme toi, si je ne m'abuse...

Tsukune se demandait alors qui pouvait bien être Akita, peut-être une de ses connaissances, mais avant toute chose, il devait s'assurer de quelque chose qu'il demandait au déprimant même de sa sécurité sans se dire une seconde s'il s'agissait d'une Youkaï ou pas.

- Est ce que tu va bien ? J'ai entendu une voix et je me suis inquiété. Au fait je ne me suis pas présentez, je m'appelle Aono...Aono Tsukune enchanté

Tsukune en profitait alors pour regarder la belle demoiselle qu'il trouvait fort jolie et se demandait vraiment se qu'elle pouvait bien faire dans ses bois. Soudainement, il se souvient qu'il se trouvait dans un lycée Youkaï et que seul les monstres pouvaient y pénétrer. LA peur le prenait alors en tenaille entre le fait qu'il devait tout faire pour garder son identité humaine secrète et quand au fait de venir en aide à cette demoiselle. Ne sachant réellement ce qui était le mieux, Tsukune fermait les yeux en se grattant les cheveux dans tout les sens. Il prit alors la même décision qui l'avait poussé à venir voir d'où prévenait la voix qu'il avait entendu. Tsukune l'aiderait si elle en a besoin sinon.. et bien il arriva ce qu'il arrivera.

Je le fixais du regard quelques minutes en clignant des yeux assez souvent, je ne me rappelais pas être arrivée ici et encore moins avoir fait la connaissance de ce jeune homme... Mes problèmes de mémoires devenaient de plus en plus fréquent et je dois dire que ça commençait à vraiment m'énerver, ou plutôt à m'inquiéter. Imaginez, vous marchez tranquillement et tout à coup, vous ouvrez les yeux et vous êtes dans une forêt deux heures se sont écoulée, un jeune homme se tient à quelques mètres de vous, il vous regarde assez étrangement, vous le fixez du regard, vous devez avoir l'air d'une folle et en plus... Et en plus c'est exactement ce qui m'ai arrivé... Je ne vois pas réellement des tas d'explication : je suis folle ou il m'a entrainé ici...

- Est-ce que tu vas bien ? J'ai entendu une voix et je me suis inquiété. Au fait je ne me suis pas présenté, je m'appelle Aono...Aono Tsukune enchanté

Ok... C'est bien ce que je pensais, je suis folle ! Il faut croire que j'ai crié en plus ! Ahaha ! laisse-moi rire ! Et pourquoi j'aurais crié ? Pourquoi ? Je ne comprends vraiment rien ! Je titube quelque peut et m'éloigne de lui tout en le fixant...

Euhh...........

Puis, ne voulant pas paraître faible, je lui souris radieusement !

Non...non ne t'inquiète pas... Tsukune... J-Je vais bien, je suis juste un peu sonnée... rien de grave...

*Regarde ma petite colombe, tu perds les pédales, mais que t'arrive t-il donc ? Tu ne te rapelles donc pas ? Tu t'es approché de lui avant de l'embrasse, mais remémore toi donc ce passage ma petite ! *
Je fermais les yeux, me concentrant sur cette voix intérieure qui me disait des choses ! Je m'en rappelais à présent ! Oui ! Je m'en rappelais ! A l'idée d'avoir embrassé un parfait inconnu je devins rouge pivoine...

Mais qu'elle est naïve ! Mais qu'elle est naïve ! M'écriais-je

Au vue de sa réponse, elle ne devait pas avoir trop de problème, ce qui le rassurait un peu, si bien qu'il arrivait à se détendre un peu. Tsukune se rendait même compte dans quel état il avait mit ses cheveux et il les recoiffait du mieux qu'il peut avec ses mains. Néanmoins, après avoir essayer d'arranger cela du mieux qu'il peut, il s'aperçut en effleurant très peu ses cheveux que cela était bien pire qu'avant. cela le déprimait un peu, mais sans trop non plus le bouleversé, car il pourrait mieux se coiffer une fois qu'il rentrera dans sa chambre.

Tsukune se concentrait d'avantage sur Akita qui lui avait dit qu'elle était un peu sonné et bien qu'il jugeait qu'elle était surement assez en forme pour se lever, il ne voulait pas prendre de risque. Il prit donc les devant en restant encore une fois inconscient du danger s'il s'agissait d'une Youkaï. Tsukune se penchait en se mettant à genoux devant Akita en se mettant de dos afin de l'aider du mieux qu'il pouvait en espérant que cela lui permettrait de mieux récupérer et qu'elle ne force pas trop vis-à-vis d'elle.

- Dans ce cas, si tu es un peu sonné, monte sur mon dos et je te ferais sortir de la forêt, je connais la sortie. dit-il en lui offrant un sourire chaleureux

Tsukune ne mentait pas, car il avait fait un chemin fort simple, allez tout droit ce qui simplifiait fortement la tâche. Il penchait même ses mains afin qu'il puisse, une fois qu'Akita serait sur son dos la soutenir en portant ses jambes. Cependant la décision revenait à Akita et à elle seule.

Je reculais encore, souriant pleinement, affichant ma sadicité naturelle, je finis par arrivé dans un endroit très sombre, plus sombre que le reste de la forêt, seul mes yeux luisaient dans ce noir total, la nuit commençait à arriver, le soleil déclinait à vue d'oeuil, une nuit sans lune. J'avais rapidement remarquer, que contrairement à mon monde, le monde "humain" le soleil et la lune se levait et se couchait très rapidement, sans s'attarder, sans contempler la beauté tellement infâme et cruelle de notre monde de sang. J'entendis sa voix qui me provenait de loin, semble t-il.

- Dans ce cas, si tu es un peu sonné, monte sur mon dos et je te ferais sortir de la forêt, je connais la sortie

- Non mon petit canard ça ira ! ne te préoccupe pas trop de moi ! je te conseil plutôt de...

J'éclatais de rire, niaiserie total, et soudain, ayant longé très discrètement le contour des arbres dans l'obsurité total, j'étais derrière lui, je m'approchais de lui et lui murmura à l'oreille

Je suis derrière toi !
J'écaltais de nouveau de rire et sortit mon coutelat discrètement, je commençais à l'appuyer sur la joue de ma pauvre petite proie, douce et harmonieuse personne que je fusse, je ne lui offirais pas une mort sans souffrance, ce n'était pas mon but, ce ne serait jamais mon but, un de mes plus grand plaisir était de voir la souffrance sur le visage des personne, souffrance si délectable !

Aono ne lui voulait pourtant pas de mal, mais s'il elle ne souhaitait pas d'aide alors il n'allait pas le faire pour lui déplaire, bien qu'il se releva un peu peiné. Néanmoins, il était ravi qu'elle se sentait d'attaque pour marcher par elle-même d'autant plus qu'il était un peu inquiet du fait qu'elle soit là, car ce n'est pas trop un endroit fréquentable. Aono s'en était rendu compte même si cela n'était que la première fois qu'il y allait et qu'il n'y soit que depuis peu de temps. Soudain, la jeune demoiselle couru et disparu de son champ de vision juste après avoir rit ce qu'il l'étonnait assez en se demandant où elle pouvait bien être. Il eut la réponse en sentant une lame sur sa joue en entendant la voix de la jeune demoiselle lui dire qu'elle se trouvait derrière lui.

Aono avait maintenant froid dans le dos, allait-il mourir? Surement pas, il préférait de loin vivre pleinement sa vie. Il comptait bien s'enfuir même s'il devait être blessé superficiellement par la lame. Aono se leva rapidement et courait à travers la forêt s'en regarder où il se diriger. Sa course ressemblait beaucoup à un homme fuyant le diable qui le coursait. Il ne regardait pas si elle le suivait, tout ce qu'il sait c'est qu'il devait s'enfuir d'ici au plus vite. Il criait même en courant:

- Je ne veux pas mourir ici!!

J'allais enfin recommencais ma terrile vangence sur le monde, que ce soit celui des huamins ou celui des monstres aucun ne reterais epargné, il avait de la chnace après tout il serait le premier tué, je ne ferai pas souffrir, je lui arracherais juste les yeux, le prverais de tout ses sens avant de le découper en morceau et de delecter son âme si pur, si sale ! Il s'échapa soudain de mon poignard et courut dans la foret ! Petit idiot, j'allais facilement le ratrapper, je gagnais sa hauteur et me cachais dans les fourées, il ne faisait même pas attention a savoir si oui ou non je me trouvais derrière lui, il avait tellement peur que s'en était risible . J'alais enfin le rejoindre lorsque une racine que je n'avais pas vue me fit perdre l'équilibre, je m'écroulais honteusemùent sur le sol ferme de la foret et perdait le control

Je ne veux pas mourir ici!!

Ce furent les première parole que j'entendis en me reveillant, un jeune homme courait dans ma direction il semblait perdu ett fuillait aparement quelques chose, je pense qu'il n,ne me vis pas car il s'écroula sur moi, il faut dire que je ne sias pourquoi mais j'étais allongée sur le sol de la foret.

- Tout va bien ? m'enquis-je inquiète.

Tsukune avait très peur de la jeune femme qu'il venait de rencontrer, et pour cause, elle voulait le tuer alors que lui souhaitait uniquement l'aider. Cela lui apprendra à être un bon samaritain, et pourtant, il sait que s'il revoit une scène similaire, il irait aider cette personne. Néanmoins, pour le moment il courrait aussi vite qu'il pouvait afin d'échapper aux griffes cette jeune femme qui l'avait effrayé comme jamais. Ne prêtant pas attention à ce qui l'entourait hormis les arbres ( pour pas qu'il ne rentre dedans la tête la première), Tsukune ne voyait pas la jeune femme se trouvant lui et lui fonça dessus. Ce n'est qu'au dernier moment que Tsukune ne voyait sa silhouette et en essayant de l'éviter, il fit l'inverse en trébuchant se gaufrant sur elle la tête la première. Non mais quel maladroit il faisait, il y a une chose à ne pas faire et tut peut être sûr que bien que cela soit accidentel, Tsukune soit sur les lieux où cela se passe. Fort heureusement le choc ne fut pas aussi violent qu'il ne l'aurait crut en sachant que sa tête était en première ligne. Il avait atterrit sur une chose moelleuse.

Tsukune ne se relevait pas tout de suite, il gardait les yeux fermer en se demandant ce qu'il s'était passé et se remémorait alors la scène de ce qui sait passer dans la forêt. Cependant, il s'arrêtait au beau milieu de sa reconstruction en entendant une voix de se qu'il s'était passé et ouvrait les yeux. Lorsqu'il voyait où se trouvait sa tête, il se redressait de suite en voulant s'excuser pour ce qu'il venait de se passer.

- Je m'excuse pour ce qui vi...

Tsukune n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il remarquait qu'il s'agissait de celle qui essayait plus tôt de le tuer. Aono avait trop couru et ne pouvait plus s'échapper. Il tremblait des jambes et s'effondrait genoux à terre.

- Ne me tuer pas.

Je me relevais péniblement, j'avais mal à l'épaule, une douleur intense et violente. Le jeune inconnu qui venait de tomber sur elle se releva rapidement et la regarda avec peur, il semblait avoir peur de moi, mais pourquoi ? qu'avais-je fait ? Il commença à s’incliner comme pour me présenter des regrets. Finalement, peut être n'avait-il pas peur de moi, peut être était-il seulement désolé, mais qui craignait-il ? Et pourquoi cette personne lui voulait-elle du mal ? Je ne comprenais rien à ce qui se passait, j'avais perdu connaissance et en me réveillant j'était dans une forêt lugubre et sombre.

- Je m'excuse pour ce qui vi...

J’allais lui dire que ce n'était pas grave, qu'il n'avait pas à s'en faire, qu'il n'avait rien fait de mal et que je n’étais pas blessé, oui, bien sûr que je lui aurais pardonné, je ne le connaissais pas, mais je savais que je pouvais lui faire confiance, j'avais l'impression qu'il était plus proche de moi que les autres, il ne dégageait visiblement pas une aura malfaisante comme les autre... oui, j'en étais presque sur, ce n'étais pas un monstre, il ressemblait trop aux humain, ou alors c'étais un monstre capable d'avoir une aura humaine.Puis, soudain, il s’effondra par terre, presque terrosriser et murmura ses mots douloureux.

- Ne me tuer pas.

Je ne comprenais pas pourquoi il me disait cela, vraiment pas, je n'avais pas rien fait de mal...

- Pourquoi ? Pourquoi te tuerais-je ? Je ne comprend pas, je ne sais même pas ou je suiS....

» Une rencontre inattendu [ PV Tsukune ]

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