Une belle après-midi... Pluvieuse. Le temps était gris à la sortie du cours d'EPS. Un cours épuisant où Jimena se donnait toujours à fond. Seulement voilà, de constitution fragile, la jeune fille était toujours l'une des dernière dans sa classe en sport. Et ce dans tout les sports. Volley, bad, courses, toujours en avant dernière place, ou presque. Mais elle ne lâchait rien, ce n'étais pas dans ses habitudes d'abandonner. Et c'est grâce à cela qu'elle parvenait à avoir la moyenne dans cette matière.

Quoi qu'il en soit, le cours se termina pour elle sur une balle ratée, et bien qu'elle est plongée et ce soit écrasée les genoux au sol, rien n'y a fait, la balle était en dehors du terrain adverse, le match était perdu. Une fois de plus elle sortie de son cours avec l'idée en tête que c'était elle qui avait fait perdre son équipe. Le volley était le sport qu'elle préférait, malheureusement elle n'y était pas plus douée que dans un autre. Aujourd'hui c'était à elle de ranger le sac qui contenait tout les ballons et autres cônes qui leur servaient pendant les deux heures.

Alors après s'être changée, elle prit les clés de la remise ou toutes les affaires de sport étaient rangées et s'y dirigea avec le truc à roulette ou tout était rangé dedans. Elle avait son sac sur le dos qui heureusement n'était pas bien lourd ce jours la. Tout se passait bien, il ne s'agissait que de traîner le sac à roulette. Mais comme à son habitude, rien ne pouvait se passer dans le bon ordre des choses avec elle. Elle entra la clé dans la serrure et la tourna, mais celle-ci refusa de faire plus d'un tour entier, bloquant ainsi la porte. Elle soupira. C'était toujours pour elle les difficultés.

Elle s'y reprit à plusieurs reprises avant d'enfin réussir ce qu'elle commençait à penser impossible, la clé fit un tour complet. Le deuxième se passa sans encombre. La jeune fille se cru tirée d'affaire, mais il n'en fut rien ! De toute ses forces elle tenta de faire coulisser la porte, en vain. Elle s'y reprit plusieurs fois mais rien n'y fit. Était-elle bloquée ? Si oui comment faire pour l'ouvrir ? Que faire ? Elle avait honte de retourner voir les professeurs et de leurs dirent ce qu'il se passait. Même pas capable d'ouvrir une porte pour ranger deux trois trucs ... Elle crut qu'elle allait craquer, elle avait envie de hurler contre cette porte qui ne daignait s'ouvrir simplement et facilement. Pourquoi tout le monde y arrivait et pas elle ? C'était pathétique.

Jimena avait aussi la fâcheuse manie de tout tourner au drame. Une porte qui ne s'ouvre pas peux la faire craquer, faible qu'elle est.

Ashikaku se balader sous la pluie comme a son habitude. Il se rendait nul par en particulier il aimer juste observer se qu'il se passer tout autour de lui. Ce jour la alors qu'il passer devant le gymnase il y vu quelqu'un. Il ne savais pas qui s'étais ni même que ce qu'elle faisait la il savait juste que s'était une fille car un brouillard épais était présent. Il observa de longue minutes sans même s'approcher car il n'aimer pas trop déranger les gens. Puis il reconnu la silouhaite. Il s'agissait de Jimena Jewel une élève de deuxième année comme lui avec qui il n'avait jamais parler ni même beaucoup rencontrer. Il la regarda un peut sans comprendre se quelle fabriquer puis vie quel avait un problème.

Il ne comprit pas se quel faisait a tourner des clef dans la serrure de la porte sans l'ouvrire jusqu'a ce qua se qu'il la voit taper de ces poing la porte. Il décida alors d'aller voir se qu'elle pouvait bien fabriquer avec cette pauvre porte. Il s'approcha donc d'elle doucement en essayent de voir mieux se quelle fabriquer. Puis il s'arrêta derrière sans même l'avertire de sa présence. Tout a coup Jimena eu l'air étonner et très énerver Ashikaku ne compris pas et il pris peur qu'elle soit énerver contre lui. A se moment la elle se retourna. Ashikaku eu peur de se sentire mal il coura donc a sa vitesse maximal (les loup-garou vont vite) se réfugier derrière un angle de la battisse. Le temps d'y arriver Jimena était retourner. En réaliter elle ne l'avait pas entendu elle s'était juste retourner pour se calmer . Ashikaku alla donc la voir. Arriver derrière elle il lui dit.

-Salut Jimena han (han=san pour les originaire de Osaka) il y a un problème ?

Cette porte, cette fichu porte lui résistait encore et toujours. Elle tenta une dernière fois de l'ouvrir. Mais elle n'y parvint pas. Elle devait se résoudre à aller chercher de l'aide. Elle frappa contre la porte et se tourna. Elle avait cru apercevoir quelque chose, elle fronça les sourcils et scruta l'horizon. Rien. Elle soupira. Elle devenait folle. Assez. C'était une mauvaise journée, un très mauvaise journée. D'abord il pleuvait, le temps était gris, moche, comme elle ne les aimaient pas. Ensuite elle avait eu sport, et avait fait perdre son équipe. Elle avait mal joué aujourd'hui. Enfin cette porte finissait de l'anéantir pour le reste de la journée. Elle n'avait plus envie que d'une chose, rentrer dans sa chambre. Et peut-être lire pour se changer les idées.

Alors il fallait en finir avec cette histoire. Elle allait commencer à marcher lorsqu'une silhouette apparu dans son champs de vision. Et elle se dirigeait droit sur elle. Chance ? Peut-être pas. Cela dépendrait de qui vient vers elle. Un garçon déjà, ça c'était certain. Il approcha jusqu'à ce qu'elle put enfin le reconnaître. Elle ne le connaissais pas, mais l'avait déjà croisé dans les couloirs du lycée.

Il connaissait son prénom. Et lui demandait si elle avait un problème. L'avait-il vu se débattre avec la porte ? Elle avait dû paraître ridicule, encore une fois...

Elle bredouilla timidement :

"euh bah ... La porte est coincée ..."

Dit-elle en la montrant. Elle se décala légèrement pour le laisser passer si celui-ci comptait l'aider. Elle supposait tout du moins qu'elle l'aiderait. Sinon il ne serai pas venu à sa rencontre pour lui demander ce qui n'allait pas. Et il avait l'air gentil. Brun aux yeux marrons, il avait un air ... Impassible. Impossible de savoir ce qu'il pensait alors... Elle tenta de se rassurer et se morigéna. Arrêter de penser qu'elle était idiote et qu'il le pensait. Et puis c'était pas sa faute si elle était bloquée cette fichu porte. Ca pouvait arriver à tout le monde, voilà.


[C'est court... J'ai honte ><]

Ashikaku remarqua que Jimena était gêner sur ment à faute de la porte. Il se demanda donc pourquoi cette fichu porte étais bloquer et en plus de sa résister. Il explora toutes les possibilités puis il dit

"Franchement je ne vois pas trop quoi faire a part aller a la salle des prof mais il y a un problème je croit quel est fermer aujourd'hui"
A se moment la Ashikaku se senti inutile or se sentiment la il le détester il se mis donc en tête de l'aider de son mieux il alla donc s'asseoir sur le banc derrière lui.

"Je vais t'aider"

Il observa donc toutes les entré jusqu'a voir une fenêtre entre ouvert il se leva donc

"Attend moi ici j'ai peut être une solution. Tu peux me prêter la clef s'il te plait"

Sans attendre de réponse il pris la clef tendue par Jimena et il alla escalader un façade. Arriver dedans il inspecta les alentours jusqu'a remarquer que si la porte était bloquer c'était parce que une bande de rigolo avais eu la bonne idée de barricader la porte. Il alla donc ranger les affaire en oublient presque Jimena jusqu'a entendre des coup sur la porte il se dépêcha donc de courir jusqu'a la porte pour ouvrire la porte qui était fermer a double tour.

Il vit alors Jimena tremper jusqu'au os.

"Si madame veut bien se donner la peine de rentré avec son panier de balle" dit-il ironiquement

Il remarqua que Jimena était a la fois gêner et énerver. Elle rentra soudainement Ashikaku la regarda et la suivit.

"Je sui désoler je rigoler"

[Désoler de ne pas avoir atteint le nombre de phrase mais la sinon y a plus rien a dire]

Jimena soupira à l'annonce de la salle des profs fermées. Elle était maudite, voilà la seule explication qu'il y avait. Elle n'avait guère eue beaucoup de chance de toute façon, depuis qu'elle était arrivée ici. Elle était souvent seule et avait du mal à se mélanger aux autres, bien qu'elle ait fait deux ou trois rencontres plutôt agréable. Mais question chance... Non, celle-ci l'avait définitivement quitté. La pluie tombait toujours à grosse goutte mais elle n'en avait cure. Elle était ... Trop démoralisée pour penser à ça. Et tant pis si elle tombait malade.

Le jeune homme regarda une dernière fois les lieux puis affirma qu'il avait peut-être une solution, et il n'attendit même pas de savoir si la jeune fille était d'accord pour lui prendre les clés des mains et se mettre à escalader une des façades. Bon sang ! Elle s'était fait avoir, elle en était certaine, il ne reviendrait jamais, et les profs allaient sans doute la sanctionner sévèrement pour avoir perdu les clés ! Elle secoua de nouveau la tête. Non. Il allait revenir. Oui, il était gentil et ne voulait que l'aider. Elle ne savait pas trop, en fait pas du tout ce qu'il allait faire, mais il allait l'aider.

Alors elle attendit, et attendit. Encore. Cela lui parut interminable. Elle sentait son coeur vibrer dans sa poitrine, et s'il ne revenait vraiment pas ? Elle allait avoir des ennuis c'était certains. Elle sentait chaque battement de son coeur, l'entendait presque. Elle ne voulait pas avoir de problème, elle c'était la fille discrète, la fille sage qui ne faisait jamais entendre parler d'elle. Et s'il ne revenait pas, plus aucun prof ne lui ferai confiance, elle en était sûre. Cela l'énerva prodigieusement de s'être fait avoir, à tel point qu'elle en frappa de nouveau la porte de son poing, l’instigatrice de tout ses soucis.

Et c'est à ce moment la qu'il décida de réapparaître, avec en prime la porte ouverte. Elle soupira de soulagement et son coeur se remit peu à peu à battre normalement. Elle pris l'humour du jeune homme avec une pointe d'agacement, il lui avait fait une belle frayeur ! Mais il ne semblait pas le remarquer. Elle prit le panier et le fit rouler à l'intérieur. Cela lui fit tout bizarre de ne plus sentir les gouttes lui tomber dessus. Elle le rangea à sa place et se tourna de nouveau vers lui. Elle s'approcha et reprit les clés, et timidement elle finit par dire :

"Merci de ton aide."

Voilà qui était fait. Il fallait maintenant refermer la porte et redonner les clés aux professeurs avant de pouvoir rentrer et se sécher correctement. Elle sortit la première et invita le garçon à la suivre de sorte qu'elle puisse refermer la porte. Enfin.

"Je vais rentrer maintenant, je suis trempée, et tu devrais en faire de même..."

Elle frissonna. Maintenant qu'elle n'était plus stresser par la perte de ses clés, elle ressentait de nouveau le froid et le fait qu'elle soit mouillée n'arrangeait rien.

Elle lui adressa un sourire avant de prendre la direction des dortoirs pour rejoindre sa chambre et se changer.

Ashikaku lui était content d'avoir aider quelqu'un mais lorsque Jimena se contenta lui dit merci pui parti il se sentit ignoré même si Jimena ne l'avait pas voulu. En vérité ce qu'il cherché s'était des amis car il avait toujours était assez seule vis a vis de ce de son age. Il avait toujours trouver les garçons de sa classe s'en grand interé au niveau mental.

Il réfléchie donc en un éclair puis il se retourna vert Jimena qui lui paresser sociable et amicale. Il la rattrapa donc afin de lui parler.

"Jimena, si tu veut on peut rentré ensemble au dortoir si tu veut"

Puis il souri car le visage de Jimna ne lui paresser pas du tout agressif. Elle ne répondit pas mais Ashikaku pris se quel fit pour un oui.

Dans sa tête Ashikaku se poser toute sorte de question: si elle beaucoup d'amis, si elle l'apprécier, quel était sa race de monstre, d'ou elle venez mais il n'osa pas les poser afin de ne pas se montré trop encombrant.

Ils marchaire durant quelque minute sen que un seule des deux ne parle. Ashikaku senti que Jimena était bloquer par quelque chose puis il finit par se rappeler avoir entendue quelque part que Jimena était très timide il décida donc d'engager la conversation mais avent tout il devais trouver un sujet de conversation pas trop habituelle ou ennuyeux il décida donc d'abordé le sujet de leur race car il considérai que la confiance est quelque chose de primordial pour faire naître une amitié.

"Dit moi Jimena, s'en vouloir paraître énervent quel est ta race bien sur si tu ne veut pas me répondre je ne t'en voudrai pas"

Puis il montra un visage calme et non agressif pour lui prouver qu'il était sincère et qu'il n'avait pas d'autre intention que l'amitié. Il vit tout a coup une éclaircie dans le ciel il se dit donc que sa devait être un signe mais malheureusement il ni croyait pas. malheureusement

[Je ne sui pas très fort pour écrire des pavet --']

Le jeune homme la rejoignit et lui proposa de rentrer ensemble. Jimena lui sourit. Pourquoi pas ? Un peu de compagnie ne faisait pas de mal, et il avait l'air sympas. Et puis il l'avait aidé, elle lui devait bien ça. Elle croisa ses bras, elle commençait à avoir froid. La pauvre fille était trempée jusqu'aux os mais elle n'y avait pas vraiment fait attention jusqu'à maintenant.

Mais elle se retrouva confrontée à son plus grand défaut, sa timidité. Un silence pesant s'installa. Elle ne savait pas trop quoi lui dire, par quel bout le prendre. Alors elle resta silencieuse, continuant de marcher le plus vite possible jusqu'au dortoir, histoire d'être vite à l'abris.

Ashikaku vint la sortir de ses pensées. Paraître énervant ? Pourquoi le serait-il ? Serait-il lui aussi comme elle, toujours en train de se sous-estimer ?

"Euh, moi je suis une sorcière. Enfin à moitié. Mon père est humain."

Elle afficha un léger sourire. Son père est humain, sa mère était sorcière. Mais à vrai dire son côté sorcière, elle ne l'aimait pas trop et l'évitait le plus possible. L'école était en vue. Pour donner le change elle demanda cependant :

"Et toi tu es... ?"

Puis elle entra dans l'école. Elle s'essuya les pieds mais doute que cela ne serve à grand chose, dégoulinante comme elle l'était.

"On est trempés... Ca m'apprendra à oublier mon parapluie."

Elle se gratta la tête et lui sourit. Ils allaient devoir se séparer pour aller se changer. La jeune fille ne voulait plus qu'une chose, une bonne douche bien chaude. Ensuite elle descendrait aux cuisines voir si il était possible de se faire un chocolat bien chaud pour se remonter le moral. Oh ! Elle allait oublier les clés. Il fallait qu'elle aille les rendre. La douche attendrait un peu.... Elle se dirigea alors vers le bureau des professeurs, clés en mains.