Une journée de cours s’était écoulée. Elle avait été longue et éprouvante, heureusement elle était terminée. Quand la jeune femme sortis du bâtiment, elle inspira un grand coup. L’air frais soufflé son visage angélique, sa peau blanche s’illuminant un peu sous le soleil de la fin d’après midi. Défaut persistant encore en elle, faisait que Myra ne supporter pas vraiment d’avoir toujours autant de monde et de bruit autour d’elle. Ses yeux bleu gris reflétaient une fatigue mentale évidente, elle avait besoin d’être seule.

La jeune élémentaire marchait de façon légère comme si elle flotté l’air alourdi de l’après midi. Sa démarche caractériser son attitude habituelle noble, fière presque majestueuse et des pas légers, sûr voir gracieux. On aurais put la comparais a une feuille qui danse avec splendeur au grès du vent. Elle marchait lentement entre les arbres en direction de la roseraie son allure était rapide, elle souhaitait s’éloigné le plus vite possible de la foule dense qui se précipitait pour sortir de cours.

Quand elle arriva a la roseraie, Myra ralentis profitant du calme qui l’entouré soudainement. Dieu que cet endroit était agréable ! Ses yeux qui avaient la couleur du ciel les jours de tempête exprimer tout autre chose, s’était du calme, de la paix et au fond un peu de bien être. Ce qui était plutôt rare, depuis qu’elle était arrivé elle n’avais jamais trouver quelqu’un qui lui plaisait, qui la faisait rire et l’amuser. C’est surtout cela qui lui manquait, elle soupira doucement se disant que cela arriverait bien un jour.

Myra s’approcha doucement d’une des roses, se penchant sur cette dernière pour mieux sentir son parfum doux et délicat. La jeune femme porté sa veste d’uniforme qu’elle ôta, se retrouvant avec une légère robe noir, avec des volant en bas et un peu décolleter en haut, laissant de quoi imaginer parfaitement ses formes assez généreuses. La brise fraîche qui tranchait sur l’atmosphère chaude et lourde la rendait supportable. Cette dernière souffla dans les longs cheveux de Myra, noirs comme une nuit sans lune. Soulevant aussitôt son parfum dans les airs. Un étrange mélange de lys, de vanille, de mousse, de cannelle et de framboise. Le tout donné une fragrance a la fois sucré et sauvage mais a la fois douce a sentir.

Notre jeune femme reprit d’un pas lent vers l’ombre des arbres où elle espérais pouvoir trouvait un peu de fraîcheur. Elle passa a hauteur d’un homme que son empathie avait aussitôt détecter mais elle n’y porta aucune attention. Tous que la jeune élémentaire voulais s’était s’asseoir contre un arbre et restait au calme loin de tout ses élèves qui dans les couloirs l’oppresser. Quand Myra arriva à l’ombre des arbres elle s’assit dos à un immense chêne.

C’est alors que la brise porta une odeur étrange aux narines de la belle jeune femme. Ses pupilles se dilatèrent presque instantanément. L’odeur du sang l’emplissais, le souvenir du sang de sang parent était plus que jamais présent dans son esprit et comme sa son habitude son empathie décuplé tout ses ressentis, lui donnant un mal de tête considérable.

Puis tout pris fin quand elle entendit des pas près d’elle. La jeune femme demanda alors de la voix froide qui lui servait de bouclier habituel contre les autres :

« - Qui est la ? »

Elle se retourna doucement et avec une grande grâce pour observer l’homme qui commencer a lui taper sur les nerfs. Il était plutôt beau et il avait l’air de le savoir au vus de sa tenu. Le jeune homme était la devant elle, torse nue les mains dans les poches et il affichait un grand sourire. La jeune femme n’aimais pas cela mais il avait un coter sombre et mystérieux qui l’attirait un peu. Puis elle lui répondit d’une voix calme et presque douce :

« La moindre chose insignifiante peut avoir une grande importance. C’est la base de toute maîtrise et de toute puissance. Et je ne pense pas que tu sois idiot au point de l’ignorer. »

Myra se releva doucement. Une brise fraîche vient faire voler ses cheveux noirs comme la nuit, ses yeux bleu gris semblaient briller d’une lueur de malice. Elle l’intéresser et elle le savait, c’est cela qui l’amuser. La faible lumière qui traversé le feuillage des arbres alentour rendait sa beauté presque irréelle. L’élémentaire ce tenait bien droite comme a son habitude, elle semblait plutôt fière et ne chercher pas a cacher un faible sourire. Si il voulait la défier, elle y répondrait intelligemment.

La jeune femme s’approcha d’un pas léger et le regarda avec un grand sourire empli de gentillesse avant de lui demander en lui effleurant la joue d’une main :

« Alors puis-je connaître le prénom du belle homme qui m’espionne depuis tout à l’heure ? Et la raison de cet intérêt soudain. »

En attendant qu’il daigne répondre elle resta devant lui sans bouger affichant toujours un petit sourire qui se faisait de plus en plus malicieux.

Le comportement du jeune homme l’énerver autant qu’il l’intriguer. Myra ne savait plus quoi faire, n’y comment réagir. Et le pire fut lorsqu’il sourit a sa réponse. Etait-il en train de se moquer d’elle ? La jeune élémentaire ne supporter même pas l’idée que ce soit le cas. Mais elle n’en dit rien et fit tout pour paraître le plus calme possible. L’homme fini par s’allonger prêt d’elle en lui posant une question indiscrète d’un air si naturel qu’elle en fut presque décontenancer. Non mais pour qui il se prenait celui la ?! Il posa son chapeau sur son visage attendant la réponse de la jeune femme.

Ce fut la goutte d’eau pour Myra, ses yeux bleu gris virèrent au bleu noir et elle fit s’envoler le chapeau jusqu’a ses mains. Et encore il devait s’estiment heureux qu’elle n’est pas appuyer l’une de ses lame de vent contre sa gorge. Elle se calma un peu et arrêta son pouvoir, ses yeux redevenir instantanément bleu gris comme il l’était a l’habitude. Puis elle répondit d’une voix ferme :

« -Je suis ici pour contrôler des pouvoir qui pour l’instant sont bien trop puissant mais cela ne te regarde pas.»

Puis sa voix et même son visage se firent plus doux lorsqu’elle dit banalement

« -Il fait vraiment beau aujourd’hui et ici on est toujours au calme. C’est parfait pour réfléchir. »

Le vent charger d’un tout petit peu de fraîcheur vint remuer les feuilles du chêne contre lequel ils étaient appuyé. La jeune femme inspira lentement, l’air avait une forte odeur de roses ce qui était très agréable. Les fleures avaient du éclore récemment pour que l’odeur soit si prononcer.

Myra se rendit enfin compte qu’elle avait complètement le jeune homme qui était prés d’elle, elle fini donc par reporter son attention sur lui. Amuser de savoir comment il allait réagir a tout cela elle le fixer d’un œil malicieux qui en disait long.