Le début d'une nouvelle vie.

Ce réveiller un matin dans un hôtel, avoir une impression de renaître. Haruka reprit ses esprits, elle se leva de son lit. Elle entra dans une douche chaude. Elle se lava pendant un bonne heure, en repensant à son passé mais elle devait l'oublié car aujourd'hui, elle aller changé de vie. Elle va devenir bibliothécaire dans un Lycée reconnu pour monstre.

En sortant de l'hôtel, elle alla dans le bus en direction de cette endroit, le Lycée Yokai. Pendant le trajet, elle regarda la carte qu'elle avait reçu du Lycée. Elle regarda tout les recoins de cette carte. Ce Lycée était grand, il devait être magnifique. Mais elle regarda la partie la plus importante pour elle, la bibliothèque. Elle avait l'air grande, remplit de magnifique livre écrit par des humains comme par des monstres. Au bout d'une heure, remplit d'ennuie, elle arriva.

Elle sortit et dit au chauffeur:

- Merci pour tout. A bientôt.

Le chauffeur répondit:

- Faites attention à vous cette endroit et dangereux.

Haruka sourit et rajouta:

- Le danger est attiré par moi donc ce n'ai pas grave.

Elle commença à marcher, c'était si calme. Ce la faisait longtemps qu'elle n'avait pas ressentie un sérénité comme cela. Elle s'assit sur le bord de la falaise et observa les alentours.

Spoiler:

Il n’y a rien de meilleur qu’une friandise de temps en temps. C’est pour cela que Nahla commença à grignoter quelques oréos. Que pouvait-on préféré dans ce biscuit ? Le biscuit ou la crème ? L’un ne va pas sans l’autre. Après avoir vider le paquet de biscuit, elle se leva de sa chaise de bureau et jugea qu’elle pouvait disparaitre de ses fonctions pour une petite promenade. Mais courte bien entendu. Depuis qu’un sorcier lui avait concocté une potion lui permettant d’avoir des jambes humaines et non son corps de cheval, elle limitait ses marches au maximum. Ce n’était pas très agréable de changer de forme. Pour marcher, elle s’appuyait sur une bequille. La douleur lui traversait les jambes mais elle parvenait à la ravaler sans le montrer. Enfin presque… bon, il fallait sortir pour galoper un peu. Il était dommage qu’elle ne puisse pas marcher à son aise dans les couloirs. Ils étaient assez larges. Mais le plafond ne l’était pas assez. Tant pis. Elle s’habiturait à ces « jambes ».
Nahla mangea le dernier gâteau. Le dernier ? Hé bien, quelle gloutonne… Un paquet de biscuit n’avait pas une longue espérance de vie. Elle prit une brosse et la passa dans ses longues mèches noires qu’elle ne couperait pour rien au monde. Pourquoi les femmes d’aujourd’hui les coupait ? Plus les siècles passaient, plus Nahla avait la sordide impression que les femmes voulaient devenir comme les hommes. L’habillement, les cheveux, tout y passait. Mais il était vrai que dans ce monde, il fallait se battre comme un homme pour faire valoir ses droits. Elle, elle n’a jamais eu à faire cela. Pourquoi ? Parce que tous les hommes tombaient sous son charme. Enfin, quand elle utilisait ses pouvoirs de démone en vue de faire souffrir ses pauvres victimes… monde de brutes épaisses. Il fallait pourtant reconnaitre qu’une longue chevelure, c’était du travail. Les laver, les brosser, défaire les nœuds après une nuit de folie (humhum). Passons. Elle examina son reflet dans le miroir. Depuis toujours, elle détestait l’idée simple de sortir sans se faire un brin de beauté. Lorsqu’on a été une courtisane pour des guerriers et que ces derniers vous dévorait des yeux, difficile de faire impasse sur votre physique. Elle passa en revue sa tenue. Simple décolleté noir discret. Quelques bijoux –volés à l’Aéroport… on ne se refait pas- aux oreilles, et aux bras… et elle était prête poru sortir. Il faisait bon. Elle ne prit pas sa veste en jean foncé. Bien sur on verrait les cicatrices de ses membres mais rien de grave. Ce n’était plus que des trainées blanches sur une peau métissée. Allez on y va !

Elle n’avait pas tord. Il faisait beau. Un temps parfait pour galoper. Personne ne se promenait ici. D’ailleurs, ce n’était pas pour rien qu’elle venait dans ce coin-là. Aujourd’hui, une nouvelle employée venait poser ses valises dans cet immense lycée. Pourquoi ne pas l’accueillir chaleureusement comme elle le fait si bien ? Après un moment d’hésitation, elle décida de laisser sa forme réelle bien en vue. Pourquoi dissimuler sa vrai forme ? Après tout, aucun humain ne viendra après un bon moment. Les chauffeurs de bus étaient tous des poltrons. Tous des hommes ! Ainsi, c’est sur quatre pattes qu’elle se dirigea vers la jeune bibliothécaire. Son corps d’étalone se résumait en une robe brune claire et une longue queue de lion qui finissait par un panache de couleur blanche. Cette partie de son corps aussi était difficile à entretenir. Qu’est ce qu’elle ferait pour avoir un compagnon qui puisse la brosser tous les matins… ?
Concontrons nous sur notre cible.
Elle l’a vit de loin, seule sur le banc. Que c’était dur d’être seule… elle était bien placée pour le savoir. Elle s’approcha d’elle et la fixa de ses yeux bruns. Son visage donnait toujours l’air d’être vide mais ses yeux étaient pleins de chaleur. On la croyait souvent un peu hautaine mais elle n’a jamais oublié son rang. Ni celui qu’elle occupe aujourd’hui : démone vieille de huit cent ans, cela n’aide pas pour l’humilité.
Elle s’approcha alors de la jeune femme qui attendait et l’observa de toute sa hauteur.

« Haruka Fujita. La nouvelle bibliothécaire ? » dit-elle d’une voix légerement hautaine.

Elle avait un peu mené sa petite enquête. Elle adorait tout savoir avant tout le monde. Rien ne lui échappait. Quelle peau blanche tout de même. Comparée à la sienne en tout cas. Elle espérait bien s’entendre avec elle. En général, les bibliothécaires étaient des lecteurs (le contraire serait inquiétant…), et les lecteurs étaient des penseurs. Nahla adorait les discussions dans lesquelles on débattaient sur tous les sujets. Oui, tous les sujets.

« Je m’appelle Nahla Al-Suriyya et je suis la CPE du lycée »

LA CPE ?
« Bon d’accord… l’une des CPE… » murmura-t-elle en commençant à tourner autour de la nouvelle venue, l’examinant sous tous ses angles. Elle avait oublié les conseils de Kadar sur ce point. Ne jamais dévisager quelqu’un dans cette société. Elle était bien trop curieuse et puis elle aimait bien regarder cette femme.
Elle se demanda aussi quelle race elle était. Sorcière ? Vampire ? Hum non… sinon elle aurait bruler depuis longtemps. Vivement qu’elle le sache ?

Haruka ferma les yeux et pensa. Son passé, elle ne pensait qu'a son passé. Elle c’était promis de l'oublié, mais elle n'y arrive pas. Elle était plongé dans ses pensées. Mais elle devait se réveillé. Mais elle était "sauvée", elle été enfin libre de ses choix et elle pouvait enfin faire confiance a des gens. Elle voulait faire une rencontre, plein de rencontre. Apprendre des choses sur ses personnes et surtout, elle va pouvoir lire tout la journée, car elle allait avoir sa propre bibliothèque. Elle sourit et ouvrit les yeux. Elle observa le ciel bleu, les nuages.
En parlant de rencontre, elle vit la jeune femme arrivait, elle était magnifique, ses long cheveux noir qui tombait sur ses épaules, elle avait un peau à l’opposé d'elle, ce qui la rendait magnifique. Haruka était étonnée d'une chose, elle avait une queue de lion qui dépassé.

- Haruka Fujita. La nouvelle bibliothécaire ?

On est donc au courant qu'elle arrivait. Elle sourit et dit:

- Pour vous servir. Et vous êtes ?

- Je m’appelle Nahla Al-Suriyya et je suis la CPE du lycée.

Elle avait un joli nom, pas japonais. Haruka aime la diversité. Ayant un peu voyagé dans le monde, elle connait beaucoup de chose.

- Enchanté, il n'y a qu'une seule CPE dans ce Lycée ?

Elle n'avait que cette question à poser, qu'elle idiote. On voit bien qu'elle est n'a pas l'habitude que côtoyer des gens.

- Bon d’accord… l’une des CPE…

Elle sourit, puis elle s'en rendit compte et rougit. Mais en tant que CPE, elle devait montré l'exemple. Et ne pas montré une partie de son corps de monstre. Certes elle est peut être magnifique en monstre mais les élèves dont là pour apprendre à vivre avec les humains. Donc montré ça forme humaine c'est un mieux pour apprendre aux jeunes.

- Sans vous offenser, vous ne devriez pas être sous forme humaine si je ne m'abuse ? Pour montrez l'exemple aux élèves non ? Sinon pourriez vous m'indiquer la bibliothèque ?

Quelle sympathique jeune femme ! Nahla n’avait pas encore beaucoup de proches ici. Elle n’était pas du genre à s’avouer immédiatement. Non qu’elle n’ose pas donner sa confiance, mais ce « monde » était tout nouveau pour elle. Cela ne faisait que quelques années (qui se comptaient sur les doigts d’une main) qu’elle s’intéressait vraiment à son intégrité sociale. Il y avait des règles à respecter. Des codes à appliquer. Dans les vêtements, le comportement, les paroles… tous ces codes avaient en apparence changé au cours des siècles mais restaient pourtant les même. Ce n’était pas vraiment facile. Ces règles elles ne parvenaient pas tout à fait à les respecter. Cette première règle qu’elle rechignait à appliquer était celle-ci : adopter une apparence humaine et non de monstre. Certes, sitôt que son démon supérieur lui avait donné cette forme, elle l’avait méprisé du plus profond de son âme. A présent, elle voyait ce corps de cheval comme une partie complète de son être. Elle sourit à la jeune femme et acquiesça, pensive.

-Non, je ne souhaite pas me cacher, murmura-elle d’un ton légèrement vif, disons… il est vrai que je devrais leur montrer l’exemple en adoptant une forme plus acceptable. Mais… je me dis que si les élèves n’acceptent pas leur forme monstrueuse, ils ne pourront peut-être pas vivre en société. C’est paradoxal n’est-ce pas ?

Elle aimait sa propre forme au fond. Elle se sentait libre dans cette forme animale. Galoper a toujours été son passe-temps favoris. Quand elle rencontrait d’autres centaures, elle faisait un brin de promenade à leurs côtés. Quel délice que ces promenades ! Mais sa forme humaine n’était qu’une prison dans laquelle ses jambes lui faisaient horriblement mal. Il lui semblait que ses quatres pattes devait se contenir dans ces deux jambes, très à l’étroit pendant des heures et qu’au bout d’un certain temps, ses jambes explosent… rien de très ragoutant n’est-ce pas ? Mouais…

- Permettez-moi juste de garder cette forme jusqu’à l’entrée. Par la suite, je reprendrais forme humaine, dit-il dans un ton faussement docile et mielleux.

Elle jouait la « bonne élève » et sourit à la suite de ses paroles. Ses sabots fouleraient encore la belle pelouse verte aux reflets rouges jusqu’aux bâtiments.

- Je vais vous montrer la bibliothèque. Enfin, vous commencez aujourd’hui ? Pourquoi ne pas prendre vos aises dans vos appartements ? Questionna Nahla. Allez, venez d’abord boire un thé à la menthe avec moi. Ou un cappuccino. Une bière ?

Sa longue queue de lion ondula légèrement. Lorsqu’une idée lui plaisait, tout son corps devenait un langage. Par exemple, lorsqu’elle trépignait,
Le thé à la menthe était une boisson traditionnelle de Syrie. Elle adorait cette boisson. Mais son « armoires aux friandises » était garnie de petites attentions.

-… mais avant, puis je savoir quel genre de créature vous êtes ?

Autrement dit, à qui ais-je affaire ?

Spoiler:

Haruka sourit, c'était la première vrai rencontre qu'elle faisait, elle était vraiment heureuse. Elle allait enfin être accepter comme tel. Elle repensa à sa mère qu'il lui avait dit qu'elle, un jour aurait des gens qu'il accepterai, en tant qu'ami. Qu'il ne la chasserai pas, qui ne l'éviterai pas.

- Non, je ne souhaite pas me cacher, murmura-elle d’un ton légèrement vif, disons… il est vrai que je devrais leur montrer l’exemple en adoptant une forme plus acceptable. Mais… je me dis que si les élèves n’acceptent pas leur forme monstrueuse, ils ne pourront peut-être pas vivre en société. C’est paradoxal n’est-ce pas ?

- Certes, mais s'il ne s'habitue pas leur forme humaine. Mais je me répète.

- Permettez-moi juste de garder cette forme jusqu’à l’entrée. Par la suite, je reprendrais forme humaine.

Espérons qu'elle ne soit pas vu par des élèves, par le corps enseignant ou le personnel. Elle sourit et acquiesça par un mouvement de tête.

- Je vais vous montrer la bibliothèque. Enfin, vous commencez aujourd’hui ? Pourquoi ne pas prendre vos aises dans vos appartements ?

- Je commence à travailler demain. Je veut bien aller dans ma chambre. Je suis l'une des gardiennes de l'aile Est, il faudrait donc que je la visite de fond en comble. Et je vais aller posé mes affaires.

Elle se trouvé trop direct pour une première rencontre. Mais elle ne savait pas trop faire avec quelqu'un qu'il l'accepte. Elle sourit et prit ses affaires. Elle avait pris tellement de livres qu'elle du utiliser son pouvoir pour l'aidé à le porter. Elle créa donc plusieurs bras qui portèrent les affaires. Elle voulait voir l'impression de cette personne, voir si elle allait avoir peur ou dire si c'est bizarre.
Quand Nahla dit:

- Allez, venez d’abord boire un thé à la menthe avec moi. Ou un cappuccino. Une bière ?

- Je prendrais bien un cappuccino ou un thé. On verra sur place.

La jeune femme commença à y aller. Elle était content et elle se mit à rigoler doucement. Quand le jeune centaure lui demanda:

- … mais avant, puis je savoir quel genre de créature vous êtes ?

Elle ne savait pas quoi dire, elle même ne sait pas exactement ce qu'elle est. Elle réfléchit pendant quelques minutes. Elle cherchait dans ses souvenirs ce qu'on avait dit sur elle. Ce que sa mère lui avait apprit. Il fallait qu'elle trouve les bons mots. Est-elle une démone ou une chose?
Puis elle dit:

- Je ne sait pas exactement ce que je suis, je suis la fille d'une humaine et d'une chose dont j'ignore la race. Ce qui fait de moi une erreur de la nature. J'ai des pouvoirs qui des que je les montre, les gens ont peur, sont étonnées. Même les monstres sont étonnées de mes pouvoirs. Donc voila....

Elle regarda le sol, elle repensa à plusieurs moments où elle fut rejeter mais elle devait oublié. Oublié cette partie de sa vie, elle se tourné trop vers son passé. Elle devait vivre sa nouvelle vie.

Elle voulait donc changer de sujet et elle fit un sourire radieux et rajouta:

- Sinon vous aimez quoi dans la vie ?

Elle devait la connaitre mieux avant de lui faire confiance. Cette jeune femme allait peut être son première amies.

» C'est moi , la petite nouvelle

Le début d'une nouvelle vie.

Le début d'une nouvelle vie.

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