Un réveil en douceur ou presque, la dame blanche est insomniaque, elle ne fait que rester allongée sur son lit où la surface de n’importe quel lieu sans rêver. Et pourquoi ? C’est bien sur parce qu’elle est sujette à tant de hantises où se mêlent regrets et nostalgie de toujours. Elle voudrait tant en rêver plutôt que de le revivre ce passé si houleux. Mais elle ne désespère pas de retrouver le sommeil un jour, même si elle doit encore attendre un demi-millénaire pour que son âme soit épurée de tout trouble. Et le majestueux Tengu s’extirpe de sa couche, son lit n’est que peu trempée de rosée, petite coulure de sueur. Celira s’est levée comme toujours une bonne heure avant le soleil, elle se dit qu’elle doit finir sa tâche et être prête pour le nouvel éveil de l’humanité. Elle doit être comme neuve et se lever en même temps que cette bonne communauté. Alors elle se prépare en hâte comme toujours alors qu’elle a bien le temps, elle qui est un être avoisinant l’éternité elle sait que le temps des autres est bien fugace alors n’en perd pas une miette pour eux. Et elle prend sa douche matinale et un maigre repas, un café et un croissant à la hâte pour enfin se jeter sur sa penderie. Elle en retire une chemise blanche toute simple dont elle n’attache ni le premier ni le dernier bouton. Elle aime sa liberté de corps, qu’il soit bien aéré et plaisant dans l’habit. Ensuite elle enfile un simple jean puis des mocassins en cuir noir. Elle serre son ravisant nœud papillon aux bords émiettés sans sa merveille capillaire pure mais légèrement cendrée qui tombe en cascade. Elle soupire un petit coup et s’avance sur le plancher qui craque, et ses chaussures toutes neuves qui couinent n’arrangent pas les choses. Mais ceci l’amuse, peut-être un élève lui fera la remarque et tous pourront en rire, en harmonie et de bon cœur.

Ainsi elle gagne le palier de la porte, ses quartiers résidents au rez-de-chaussée du bâtiment de l’aile Est dont elle est le gardien, unique mais satisfaisant. Elle a déjà du montré son aspect terrifiant pour préserver la paix de sa petite communauté et elle aimerait que les troubles n’arrivent plus. Du reste elle n’a que peu décoré son immense pièce, trop grande et riche à son goût, elle le sage détaché des vanités. Elle en a juste profité pour reconstruire un cadre féodal qui lui tien à cœur, ainsi sa chambre est celle d’un samouraï ou plutôt d’un général de l’ère Edo. Ainsi avant de sortir, elle lève le nez vers un écriteau posé au dessus de l’encadrement de sa porte. « Advienne que pourra, laisse parler ton cœur et tu vaincras à coup sur ! ». Ceci étant sa devise qu’elle défend avec ferveur, ce fus celle d’un autre homme avant elle, voilà pourquoi elle aime tant ce discours. Le courage de l’homme et la vertu du cœur, deux valeurs primordiales qu’elle se doit d’enseigner, que se soit en temps que professeur ou en temps que Tengu. Bref la voilà qui tourne la poignet, grinçant à peine, et elle pousse le bois qui coulisse toujours en grinçant c’est ennuyeux. Et puisque tous dorment encore ou se réveillent à peine, elle tente de faire le moins de bruit possible. Elle s’extirpe donc de son caveau de merveille et ferme bien à clef cette porte en extérieur banale. Elle fourre la clef d’or dans sa poche avant droite et s’engage dans le tunnel d’ombres menant à la sortie de la grande bâtisse. Un vieux cahier de cuir rouge et un gros livre d’histoire et de foi sous le bras gauche.

Enfin dehors, elle penche le regard sur son poignet droit, sa montre digitale, seule technologie qu’elle s’accorde, indique 7h42. Elle soupire et se dit qu’elle doit se dépêcher pour ce cours qu’elle ambitionne depuis quelques semaines déjà. Et elle a dut légèrement batailler au prêt de l’administration pour obtenir la permission de l’accomplir ce petit rêve. Alors pour que la surprise déchire les mornes croyances de cours lessivant que l’on lit au quotidien sur ces faces d’élèves effondrés sur leur bureau ; Celira entonne le fredonnement du petit matin, tel un rossignol elle sifflote à la Nature sa seule oreille attentive. Elle suit un petit périple la conduisant à revenir vers le lycée, passant le portail alors que la sonnerie a déjà sonnée. 8h07, elle est passablement en retard mais c’est qu’elle est bien ennuyée avec deux énormes sac qu’elle a du rassembler ce matin et trainer vers une cache, puis elle a du soudoyer des surveillants pour qu’ils préparent la surprise derrière le lycée, à l’abri des regards. Enfin elle est là, marchant la main droite dans la poche, d’un air soupe au lait et le bras gauche toujours chargé de son cahier et son livre. Elle se dirige vers son bâtiment de classe lorsqu’elle rencontre une élève, enfin elle l’a prend pour une élève. Une jolie rousse aguichante, elle la choppe au vol et lui demande de la suivre, lui soufflant un petit rappel à l’ordre pas bien méchant. Et cette jeune fille répondant au doux patronyme de Ann la suit sas faire d’histoire. Enfin après quelques enchevêtrements de couloirs et d’escalier la dame blanche vraiment nonchalante achève la traversée du dédale. Elle ouvre le panneau coulissant de sa salle de classe et sans un mot va s’assoir sur son bureau. Elle fait signe à la jeune fille d’entrée et elle lui permet sans un mot, d’un simple regard d’aller s’assoir à un siège vide. Cette classe était bien nouvelle pour ce professeur, elle photographia chaque nouvelle tête pour les graver dans son esprit. Puis elle se releva de son bureau, déposa ses bouquins et parue bien décontractée devant eux. Une voix au ton neutre s’évada de ses lèvres sèches, un regard sans grande vigueur les prenant pour cible.

Celira : Bonjour à tous, je me présente Eterna Celira, je serai pour vous qui êtes des nouveaux arrivant votre professeur de culture humaine. S’il arrive que mon cour vous ennui vous pourrez sortir en silence, je ne demande qu’un minimum d’attention durant mes cours. Pas de bagarre ni de mauvaise prise de paroles également. Je n’aimerais pas à avoir à vous répéter des choses alors soyez attentif. Enfin j’aimerai que vous vous présentiez chacun votre tour, simplement et dans le calme. Histoire que je puisse poser des noms sur ces têtes bien fraîches.

Après une nuit agiter à cause de la chaleur Ashikaku se réveilla ver 5 heure 30 du matin il faisait encore nuit mais la chaleur était insupportable. Il sorti de son lit pour aller se laver. Quelque temps après, il revint encore fatiguer pour aller se coucher. Il rentra dans son lit sans les drap et ferma les yeux. Un peut plus tard il se releva car il ne trouvait pas le sommeille. Il alla donc préparer son petit déjeuner... Rien a manger la journée commencer déjà mal

Un peut plus tard 20min avant la rentré en cour il sorti de sa chambre. Sur le chemin il croisa plein de personne mais il n'avait pas le temps de leur parler. La marche de sa chambre a la salle lui paru comme infime. En vérité il rêvassé de son enfance agiter et de sa vie au Lycée Yokai. Cette nuit atroce ne l'avait pas vraiment aider. Arriver devant la salle de cour il entra avent de se rendre conte qu'il avait 10 minutes d'avance. Il alla donc s'assoir a sa place a coter de la fenêtre en attendant que tout le monde soit-la. Il regarda le vent soufflait doucement sur les arbres dans la cour et les élève arriver dans le bâtiment principale tiré de leur lit. Les élève arriver petit a petit somnolents tout comme lui. Mais a l'arriver de la professeur tout les autre élève parure comme captiver il décida donc de lui prêter attention. Elle n'était pas très grande et avait des longs cheveux blancs et des yeux rouges. La culture humaine ne l'avait jamais vraiment intéresser. Car les humain ne l'intéresser pas. Il préféré les éviter dorénavant

- Bonjour à tous, je me présente Eterna Celira, je serai pour vous qui êtes des nouveaux arrivant votre professeur de culture humaine. S’il arrive que mon cour vous ennui vous pourrez sortir en silence, je ne demande qu’un minimum d’attention durant mes cours. Pas de bagarre ni de mauvaise prise de paroles également. Je n’aimerais pas à avoir à vous répéter des choses alors soyez attentif. Enfin j’aimerai que vous vous présentiez chacun votre tour, simplement et dans le calme. Histoire que je puisse poser des noms sur ces têtes bien fraîches.

Beaucoup de personne se mire a se présenter mais lui sembler ne pas vraiment vouloir le faire. Mais lorsque se fut a lui de se présenter il parla avec un ton un peut froid

-Je m'appelle Ishikawa Ashikaku.

Impassible est le terrible regard qui s’abat sur ses mauvaises troupes, la dame blanche se revoit ici à la revue de l’effectif militaire. Bien des soldats ici élèves qui sont dressés au garde à vous en quelques rangées parfaites. Son œil avisé d’une lueur carmine roule légèrement et imprime en sont esprit les patronymes de chacun. Toutes et tous sont bien obéissants, une valeur exécrable qui fait devenir chien un homme pour être un bon petit soldat, un pion plutôt. Et même si elle n’aime pas le pas militaire, notre Tengu ne peut qu’y revenir, ce timing mélodieux et rapide d’exécution de l’appel est plaisant. Ce n’est plus la terrible figure du colonel qui hurle le grade et le nom de ses troupes pour les humilier avec la rudesse d’une volonté impeccable. Non aujourd’hui la jeune jouvencelle car elle est encore jeune pour ce qu’elle est, se veut figure de fierté, un professeur qui même s’il ne semble que peu professionnel, demeure admiratif de ce subtil échange de politesse qui s’effectue dans le calme. Aussi leur rendant grâce, après l’appel inversé achevé, elle laisse flirter ses lèvres avec le regard de l’onde verdâtre, la masse d’élève qui semble encore éreinté du voyage de la nuit et du rêve. Elle laissera dormir ceux qui ne pourront suivre la manœuvre attendue, elle n’est pas dure avec ces enfants, on apprend peu avec la distraction apportée par la haine de l’homme. Aussi s’éveille t’elle un subtil et si faible sourire, étirant à peine ses lèvres crues pour morte depuis toujours. Et voir cet éclair de joie n’est pas vraiment important, elle tien juste à leur dire merci pour cette civilité qui l’enchante de bon matin.

Seulement la myriade de fantasques étoiles qui virevoltent dans ses mirettes lui resteront pour seule spectatrice, et pourront-ils encore l’enchanter au cours de ces deux heures de séance ? Advienne que pourra se dit-elle, voyons si l’esprit es assez affuté au tout juste éveil de l’âme. Et comme si elle ne tenait pas rigueur de l’entièreté de ces petites gens, voilà que la carcasse ravivée et fraîche se déporte à la fenêtre sur sa droite, dans un léger couinement de cuir neuf qui défit le silence de s’étrangler par le rire. De petits rires qui éclatent à l’étouffé d’une main au fin fond de la salle. Pour ce maître de volière, rien ne semble échapper à son œil de faucon, détournant simplement ses iris vermeils sur ce petit esprit. Le terrifiant en un instant, la minute d’amusement était passé, allaient-ils venir à l’idée d’un personnage froid et cruel à l’exercice ? La petitesse d’enfant assise au coin de la fenêtre, sur ce petit plateau céleste, rivant un regard imperturbable de déité veillant sur le monde terrestre. Ce silence si agaçant, elle désirait le briser, mais personne ne semblait vouloir y couper court. Avaient-ils peur de déplaire, de perdre les bonnes grâces si frêlement acquises ? Ainsi le professeur se devait d’intervenir, petite missive de sauvegarde, elle prit de nouvelles aises en balançant légèrement son pied gauche dans le vide, comme le ferait tout enfant s’ennuyant du haut de son perchoir. Et elle brise la règle d’or du silence, laissant évader nouvelle énigme d’elle-même, d’un esprit volage.

Celira : Je ne sais guère si le poids de la fatigue vous accable encore, ou si vous eûtes peur de cruelles réprimandes, seulement je vous le dit. Lorsque vous ressentez le besoin de parler, n’attendez pas que l’autorité vous y engage, faites-le tout simplement. Ici nous ne sommes pas dans une institution militaire. Chacun doit revendiquer sa liberté d’expression et clamer ce qu’il pense sans en avoir peur ou honte. Aussi je vous le dit, en dépit des apparences, je ne suis pas une figure de sévérité, alors n’ayez pas peur de décocher votre verbe.

Par ce court discours elle espère les avoir rassuré, il fallait bien donner de sa personne pour cisailler les chaînes entravant leur si jeunes gorges. Et plutôt que de la peur, elle verrait juste une preuve de respect indéfectible dans l’acte du silence, et pourtant ne pas s’exclamer est navrant. Elle aime parler et débattre, ainsi est sa méthode d’apprentissage, c’est en dialoguant avec son professeur qu’un élève apprend mieux, à réfléchir et à revoir le problème posé par cette dialectique. Seulement elle fait rouler son regard vers quelques têtes qu’elle avait trouvé plaisantes à entendre, tout d’abord sur la jeune fille semblant heureuse et bien fougueuse au réveil. Elle avait bien fait de la ramasser en chemin pour la guider sous son aile protectrice, la vertu ayant guidée ses pas. Des petites voix s’élèvent du fond du caveau des chuchotements, elle ne prête pas vraiment attention à ses ragots et ces amusements de jeunes fleurs dans l’étalage de leurs désirs verbaux. Aussi les coupe t’elle dans leur élan frivole. Reprenant d’une voix simple, le bastingage du navire tanguant entre un timbre d’eau sèche et l’autre douce, donnant un subtil écoulement fluvial bien aguicheur et doux. Et la fausse fureur de prédation logée dans ces yeux s’évade dans la brise qui s’engouffre par ces fenêtres. Elle parait plus conviviale, plus chaleureuse, presque enfantine, mais une telle douceur ne ferait sa leçon à pareille bande aigrisse d’endormis. Son regard vient se planter en douceur sur cette autre jeune fille, miss Nightwing, loin de l’agresser, juste pour prendre un remarquable appui et déverser sa parole à ce peuple qui réclame des miettes de savoir.

Celira : Cependant en ce domaine règne l’implacable Comité de Sécurité, et tous le savent, il n’est pas bien posé sur la notion de liberté quelle qu’elle soit. Prenons donc cet exemple pour étayer le débat qui suit. Si d’abord cela vous scie d’entamer le cours par une petite discussion commune. Je trouve plaisante et très enrichissante cette méthode d’apprentissage. Libre à vous de vous aventurer dans ces eaux de politiques, comme requin ou nageur. Elle fit une pause dans sa harangue pour balayer du regard la salle et toutes ces têtes un brin intriguées, d’autres amusées du petit jeu, et d’autres renfrognés voire réticents. Elle n’en ferait rien et reprendrait bien vite. Il est juste que d’abord je souligne votre témérité miss Nightwing, une petite pointe d’orgueil également. Aussi je vous le demande et ne le prenez pas mal je vous prie. Pourquoi avez-vous sciemment déclamé votre appartenance à ce groupe ? Il est assez mal vu dans le cœur de cette communauté de part ses agissements quelques peu négatifs. Aussi pour lancer ce débat, je propose cette interrogation comme base. Sous quelles conditions peut-on justifier un régime totalitaire ou semi-totalitaire oppressant un peuple qu’il dit servir et protéger, peut-on démontrer des valeurs rendant ce régime légitime ?

A trop s’emporter sur ses grands chevaux ou en proférant le sujet de la peur, le peuple évince cette tête que trop pensante, l’histoire l’a démontré, le peuple indien assassinant leur frère Gandhi ou cet autre pacifiste amoureux du monde et des libertés, John Lennon assassiné par un fanatique de sa personne. C’est comme ça, le système élime toujours inconsciemment ces bugs même quand un homme cherche à faire comprendre une évidence vertueuse à son peuple. Pourtant ici ces élèves pourront tout juste contester son opinion, se ranger du côté de la force qui fait loi, croyant ces marauds disant protéger et servir. Ou peut-être que le débat offrira une richesse insoupçonnée jusqu’alors. Ou encore il est bien possible de voir s’envenimer la discussion, que la classe de déchire entre plusieurs groupes de partisans bellicistes, et que l’agent de l’ordre en place ne doivent intervenir avec force et donner cette réponse comme seule acceptable. Tant d’avenirs possibles, un seul réalisable, et elle se replonge dans sa pensée pour leur laisser la parole et tout le loisir d’en découdre à la miable. Et la jouvencelle ferme à demi clôt ces cerises poignantes et chatoyantes, pour glisser son regard au-dehors, jetant son désir d’évasion vers le bosquet lugubre et les remparts de la citadelle. Et n’allez pas croire qu’elle fera la sourde oreille, car malgré son air vagabond et son esprit pensif, elle entend tout et assimilera le reste.

Citation :

Cependant en ce domaine règne l’implacable Comité de Sécurité, et tous le savent, il n’est pas bien posé sur la notion de liberté quelle qu’elle soit. Prenons donc cet exemple pour étayer le débat qui suit. Si d’abord cela vous scie d’entamer le cours par une petite discussion commune. Je trouve plaisante et très enrichissante cette méthode d’apprentissage. Libre à vous de vous aventurer dans ces eaux de politiques, comme requin ou nageur.

Il est juste que d’abord je souligne votre témérité miss Nightwing, une petite pointe d’orgueil également. Aussi je vous le demande et ne le prenez pas mal je vous prie. Pourquoi avez-vous sciemment déclamé votre appartenance à ce groupe ? Il est assez mal vu dans le cœur de cette communauté de part ses agissements quelques peu négatifs. Aussi pour lancer ce débat, je propose cette interrogation comme base. Sous quelles conditions peut-on justifier un régime totalitaire ou semi-totalitaire oppressant un peuple qu’il dit servir et protéger, peut-on démontrer des valeurs rendant ce régime légitime ?

Cela faisait déjà un petit moment que le cour avez commencer et les élève se présenter toujours. Ashikaku était assez réveure. Il rêvé de la liberté, de la vie sauvage. Comme avent quoi. Mais malheureusement la réalité le rattrapa plutôt rapidement et il ne fallu pas longtemps a Ashikaku pour s'extirper de ces rêve. Mais la prof avez déjà commencer a parler et il n'avait pas écouter le début.

Celira : [...] Chacun doit revendiquer sa liberté d’expression et clamer ce qu’il pense sans en avoir peur ou honte. Aussi je vous le dis, en dépit des apparences, je ne suis pas une figure de sévérité, alors n’ayez pas peur de décocher votre verbe.
Voila se que Ashikaku avait comprit des parole de son prof mais cela ne sembler pas etre la fin des parole du sensei. Effectivement 5min plus tard elle se remise a parler.

Celira : Cependant en ce domaine règne l’implacable Comité de Sécurité, et tous le savent, il n’est pas bien posé sur la notion de liberté quelle qu’elle soit. Prenons donc cet exemple pour étayer le débat qui suit. Si d’abord cela vous scie d’entamer le cours par une petite discussion commune. Je trouve plaisante et très enrichissante cette méthode d’apprentissage. Libre à vous de vous aventurer dans ces eaux de politiques, comme requin ou nageur. Il est juste que d’abord je souligne votre témérité miss Nightwing, une petite pointe d’orgueil également. Aussi je vous le demande et ne le prenez pas mal je vous prie. Pourquoi avez-vous sciemment déclamé votre appartenance à ce groupe ? Il est assez mal vu dans le cœur de cette communauté de part ses agissements quelques peu négatifs. Aussi pour lancer ce débat, je propose cette interrogation comme base. Sous quelles conditions peut-on justifier un régime totalitaire ou semi-totalitaire oppressant un peuple qu’il dit servir et protéger, peut-on démontrer des valeurs rendant ce régime légitime ?

Cet foi il avait tout entendu. Après quelque minute deux élève c'était déjà lever. Le premier protéger la liberté et le 2eme était neutre. Sur ce Ashikaku décida de parler et de dire très clairement se qu'il penser pour une foi que on lui demander. Il se leva brusquement.

-Je ne pense pas que ce régime soit légitime car faire imposer son pouvoir par la force est ridicule. Si on vouler vraiment gouverner il faudrait être aimer de se que l'on dirige sinon cela ne servirai.

Ashikaku se rasseilla et regarda les autres élèves se lever a leur tour pour parler. Lui n'avait pas vraiment dit se qu'il penser car il ne tenait pas à s'attirer d'ennuie même si c'était mal parti.

Tour à tour des voix s'étaient élevées, elle s'était tue. La Dame Blanche demeura retranchée dans son silence inviolable, pour écouter le seul souffle sansitures de la vueet de ses imbéciles préjugés. Dès lors ces têtes bien pleines et assurément bien faites, de par des discours assez vivaces, lui donnèrent à boire le nectar de sa parole. Engeance d'une chimère, bien et mal en étaient ressorti. Des verves accusatrices pour quelques uns, du nationalisme, du républicanisme, de la défense plutôt bien bêtonnée et attrayante ou encore de la diffamation totale et cruelle. Le Tengu n'avait pas lancé sa ritournelle pour semer le chaos et en récolter la déchirure socialo-politique de l'assemblée, non loin de là. Sa subtile pensée allait à l'encontre de sa verve. Allant à déclamer nouvelle énigme, le regard toujours perdu vers l'extérieur et le corps encore à la fenêtre. « La richesse d'un enseignement est bien souvent caché sous une roche factice que l'on vous montre. Il vous faudra apprendre à ne pas regarder avec vos yeux mais avec votre âme. Je vous laisse méditer là dessus. » Elle demeura silencieuse quelques instant encore avant de bondir, nonchalement de son modeste perchoir. Fourant à nouveau ses mains dans les poches. Pour river son regard morne sur sa classe. Jaugeant l'étendu du raz-de-marée ayant déferlé plus tôt pour laisser apparaitre à sa levée des terre, la rancoeur des vivants. Et avec ses dernières paroles, les avait-elle piqué au vif pour les apaiser ? De sa petitesse majestueuse elle s'avanca pour marcher dans le rang du milieu. La démarche lente et ample, le pas leger à l'image du coeur et le regard fermé que moins hostile. « Il est fort dommage que vous n'ayez su voir au-delà des mots pour vous y laisser enflammer. Peut-être avez-vous cru à ma possible déclaration solanelle. Au risque de vous déplaire, le but de cette mascarade visait à savoir si vous pouviez, tout en défandant noblement votre opinion, lire entre les lignes. La Vérité, grossièrement dit, était voilée derrière ces paroles. »

Elle prit le temps, enfin de rouvrir à demi clot ses prunelles carmines. Pour jeter son dévolu sur l'enfant la plus passionnée du campus. Un petit prodige local à n'en pas douter, et il fallait l'avouer, notre Tengu éprouvait de la fierté à voir ce sang neuf est assoifé de justice. Elle gardait un oeil en secret sur le Comité de Sécurité, petit privilège qu'elle s'accordait du haut de son poste de proffesseur. Ayant une fois invoqué le devoir du Kami mineur au près du directeur pour lui graisser la patte. Entre bons gens de jutice, ces deux lady devraient s'accorder. En tout cas elle voulait bien le croire. C'est là qu'elle finit par se figer dans sa rangée, aux côtés de la championne du discours du jour. Pas bien grande mais les surplombant tout de même. Elle lui aurait bien envoyé un message télépathique, hélas elle ne possède guère ce pouvoir et puis autant clamer haut et fort ces louanges. « Ayant redoublé l'adresse de notre valeureux monsieur Sando, je félicite un brin mademoiselle Nightwing pour son franc parlé. Un cran et une juste langue comme on les aime par ici. Bien que vous ne soyez que trop enflammée à mon goût austère, je rend hommage à votre "justice". Le Comité de Sécurité est une institution juste, lui ne peut être blamé pour les méfais regrétables de certains. La justice et l'ordre oeuvrent pour la paix de Yokai. Ainsi je vous le dit, pour pouvoir protéger il faut combattre. » Enfin dessinant un maigre mais au combien doux sourire, elle s'éclipsa pour en l'éteignant, rejoindre son bureau en silence. Laissant le temps de cogiter et méditer ces paroles une nouvelle fois. Alors elle se riva face à ses élèves, toujours le regard morne. Seulement elle vint lentement à extraire ses mains de ses poches, pour se hisser sur son bureau et y prendre racine. Un trône de nain sage. Enfin elle glissa ces mains devant elle, au creux de ces jambes et de son ventre pour les joindrent.

« Si l'on se penche sur l'histoire du Nihon; je m'éforcerai d'être assez claire pour les élèves qui ne connaitraient pas bien le Japon. Donc, l'on peut soulever moules exemples relatant de cette noblesse qui incombe au seigneur dirigeant. Prenons l'exemple de la grande crise de 587 ... petit temps laissé à la réflexion commune, histoire que cela revienne en mémoire ... Le futur empreureur Shôtoku mit fin à une crise religieuse qui déchirait la nation. Il était du côté du clan des Soga soulevé contre celui des Mononobé, ce clan qui détient aujourd'hui encore une épée sacrée. Mais cette relique divine n'est pas le sujet. Tandis que le premier clan était pour l'introduction du Bouddhisme dans leur pays, les Mononobé pensait de manière vivace et réfractaire que cela amènerait le chaos. Avec la colère des Kami. Il en résulta qu'une guerre violente éclata et que les Soga écrasent les Monobé. Le Shinto ne perdit pas la face à devoir cohabiter avec le Bouddha. Au contraire chaqun était même libre depuis lors d'adopter sa foi, imposée avant coup. Le message de cette boucherie révèle que la bataille est le juste moyen pour amener la paix et rétablir l'équilibre. Et peut être ferez vous un parralèle entre l'Antithèse réfractaire et le Comité qui vous suit pas à pas. Ou encore mieux, entre les pro-comité de la classe et l'autre moitiée réactionaire. Que pensez vous alors de cette morale humaniste ? Et je défis l'un de vous de reprendre la doctrine Hippies. »