Ainsi donc venait la lutte finale. La Dame Blanche n'avait pas encore tout assimilé, mais la Vérité éclata enfin. Il lui fallait oublier sa petite rancoeur contre Akuma qui au final était aussi une victime du Destin. Alors elle s'avança après qu'il ait parlé, prenant l'air décontracté, les mains toujours fourrées dans les poches. Elle s'avança aux plus hautes marche puis se retourna vers l'assemblée toujours désapointée par cette sitaution. Elle riva un regard impassible sur cette masse piallant pour ces trésors, enflamées à l'idée d'une épique bataille, d'un retour au foyer ou encore par des retrouvailles touchantes. Cependant elle savait que l'instant n'était guère propice à tout cela, il leur faudrait faire au plus vite pour l'emporter et ne pas gâcher la chance que leur offrait leur compagnon d'infortune. Là elle s'éclaircit la voix pour captiver l'attention des troupes. Pour laisser découler sa verve posée, dans l'idée de leur insufler courage et espoir quant à cette situation de crise. « Un peu d'attention je vous prie. Très chers élèves et confrères, si je puis dire mes amis. Nous venons de partager des épreuves houleuses qui nous aurons soudés. Aussi nous avons découvert notre vraie force, au diable nos pouvoirs de Yokai, nos poings, nos cervelles et nos fois personneles furent ces armes nous amenant jusque ici. Soyez en fier. Dans un autre temps, nous avons tous reçut quelque chose, une arme, un artéfact, un nouveau pouvoir ou encore une sagesse. Ces cadeaux vous rendent plus fort il est vrai mais n'oubliez pas que votre vraie force provient de vous et non de ces trésors. L'intensité de votre mental et de vos émotions permets à vos pouvoirs de croîtres. Tout comme le moral d'une armée influe sur sa force de frappe, gardez espoir pour la suite. Si vous n'avez pas foi alors nous tomberons les uns après les autres. Sur ceux j'aimerai remercier chacun d'entre vous et vous souhaiter bonne chance. Allons-y, rentrons chez nous ... » Elle aiguisa un sourire radieux sur ses dernières paroles puis leurs fit dos pour entrer dans la lumière. « J'arrive Mu-chan, attends moi ... » avait t'elle susurrer pour elle-meêm en se laissant engloutir par la lumière ...

Dans la catégorie c'est quoi le pire, se faire balader par un hibou géant ou se rendre compte que ses compagnons de route et entre autre "elle" se permettaient de n'en faire qu'à leur tête et partir quand bon leur semblaient mettant un groupe en péril. Et maintenant cette Célira tentait d'unifier toutes les personnes lorsque cela convenait mieux à ses plan?

Cette soit disant professeur était dangereuse car incompétente. Voilà ce que Suzuki pensait à cet instant.
Elle était capable de mener les autres au combat et se jeter elle même à corps perdu pour en mourir au nom de souffrances passées. Une fois morte, les petits soldats qui n'étaient que des élèves se retrouveraient abandonnés et voués à être décimé dans leur désorientation.

Suzuki grimaça en envisageant cette hypothèse. Mais puisqu'il avait retrouvé son bras, la donne changeait, et de loin. Tuer sa collègue devenait une option de survie non négligeable pour le restant des troupes ; mais il n'allait pas tarder à déchanter.

Un élève, dont il ignorait même le prénom la reconnaissait en chef, et lui en était le second...

Bien sur... Lui qui avait mené des guerres en enfer en compagnie d'Alouka, et qui était à la tête de l'escouade du Seigneur de la destruction... Lui qui avait été leader tellement de fois que c'était à vomir ; on le classait second. Autant aller vendre du poisson tel un Pakistanais dans les rue de Londres à ce moment là.

Et d'ailleurs, cet Akuma avait été scellé, mais Suzuki avait une impression de déjà vu. Et rapidement il élabora l'hypothèse que celui qui avait lancé ce sortilège n'était autre que son supérieur hiérarchique...
C'est à ce moment là que les enjeux politiques prirent place, et que la situation se complexifia.

Si le Diable a effectivement lancé ce sortilège, alors Suzuki, représentant du Conseil des Diantrefosses en ces lieux, devait soumettre une option de libération à ses collègues avant toute intervention. De plus c'était Asmodée qui serait furieux en cas de faux pas : Suzuki serait démit de ses fonctions et tué par la seconde du dieu de la mort... En gros son amante dans sa vie précédente...
Il fallait réfléchir vite, car même s'il envisageait de prétendre ne pas savoir qui avait placé cette "prison" l'argument ne ferait pas le poids contre le maître suprême des Enfers.

Il restait donc deux options : l'une était de ne pas prendre part au combat, et refuser catégoriquement toute implication dans les conflits inter-sphère ; et l'autre était de barrer la route à tous les membres du lycée Yokai, les exterminer un par un afin que la loi du Diable ne soit pas outrageusement violée par tout ces prétentieux de la surface...

En évaluant ceux qu'il connaissait, il compris qu'il devrait commencer par "elle", puis viendrait le tour des plus fort quand persisterait l'effet de surprise.
Cet élève, ce Noid, et aussi la vampire de sang pur qui lui avait donné du fil à retordre sur le bateau, Moka, puis ces quelques rigolos qui semblaient un peu trop sur d'eux... Puis enfin les sorciers aux visages niais qu'il ne fallait pas sous estimer... Et pour finir : Priecia car elle se refuserait de l'affronter et ne serait donc pas une menace dans sa victoire écrasante.

Il resterait ensuite ici, seul à jamais, ayant protégé la volonté du Diable, à discuter avec cet Akuma, ou mangé par des créatures aussi nombreuses qu'étranges.

Il s'avança vers Célira et se posta à coté d'elle. Son plan était presque parfait, mais les chances de succès étaient faibles...

Avant qu'elle ne veuille entrer dans cette lumière il posa une main lourde sur la jeune femme. Plongeant son regard dans le sien on pouvait lire toute l'aversion qu'il éprouvait pour ce genre de personne.

Et à son attention, uniquement pour elle, et crachant sur tout le plan qu'il venait d’échafauder, il lui murmura :

-Mener est une lourde tâche... Si jamais tu venais à remettre l'équipe en péril, je te tuerai de mes mains, et par delà ma mort tu ne trouveras jamais de repos...

Cet avertissement était une forme de reconnaissance, il lui laissait sa chance, mais serait intraitable en cas de faux pas. Là d'où il venait, personne n'acceptait les échecs. Et la laisser faire engendrerait certainement des conséquences pour notre démon.

Ne disant pas un mot, écoutant ceux qui étaient ici et qui prenaient la parole, il se fit discret. Déjà, il n'aimerait pas cette femme qui se permettait de se donner le rôle de chef, depuis quand cela se faisait? C'était normalement les membres du groupe qui désignaient un chef! C'était semblable à une dictature...Alors la, rêvez! Il en est hors de question, Seki ne sera pas un pion!

Mais ce jeune homme, Noïd, qu'il avait retrouvé dans le maelström d'ares parlait au moins pour dire des choses censées! Il était d'accord avec lui. Mais il y avait une chose qu'il voulait rajouter. Car en observant les membres qui étaient ici...il se sentait un peu comme le mouton noir. Les uns après les autres, ils étaient arrivés en groupe...alors que lui, n'avait pas parlé une seul fois avec ce Noïd et ce Shygana...Lui avait été abandonné par Ashikaku dans la forêt à moitiermort et avait continué l'aventure tout seul! Alors comment avoir confiance en ces personnes, alors que Ashikaku est censé être son colocataire au niveau des chambres...Il en avait simplement plus.

Il avait survécu seul jusqu'ici, battant même une armée de robot...d'ailleurs ses vêtements témoignaient ce qu'il avait pu traverser...Déjà, il était torse nu...il n'était plus blessé mais il était toujours aussi....sale. Oui, son pantalon était immaculé de sang de chien démon et son corps était recouvert de poussière, croché à sa peau par le sang séché ou à cause de la transpiration et d'huile de robot...répugnant n'est-ce pas? Mais Akuma les avait peut-être soigné, mais pas lavé!

Seki décida de se mettre sur le côté, soupirant doucement. L'idée de Noïd était certainement la meilleurs. Mais cela faisait également un peloton de cible unique. Il fallait bien entendu ajouter quelque chose pour que ce plan soit parfait.

-Puisque je ne connais aucun d'entre vous et que j'ai réussi à m'en sortir seul jusqu'ici, je me permettrais de jouer le gibier si cela est nécessaire. C'est à dire, d'attirer l'attention de ces montres pour les éloigner de vous pour que vous avanciez plus vite vers l'objectif...Bien entendu, je n'empêches personne de m'assister...De plus, je ne sais pratiquement rien de cet Akuma, il ne m'a interpellé qu'une fois et vous semblez en savoir plus que moi, vous seriez bien plus compétent en face de sa prison que moi...

Il marqua une pose, regardant cette femme «chef »

-Si vous tenez tant à donner des rôles, je prend le rôle de vous couvrir. Vous prenez l'initiative d'être le meneur, je prend la mienne. J'ai horreur de la hiérarchie et d'en être un pion!

Son choix était fait. Bien qu'il n'en donne pas l'impression en gardant sa froideur, car il était de mauvaise humeur, c'était des membre du lycée...Il souhaitait intérieurement les voir s'en tirer. Bien qu'il ne connaisse personne, en étant dans ce lycée, ils acceptaient des règles pour vivre en société...ceci était suffisant pour les aider aux yeux de Seki

Arrivant la première, il lui sembla fouler une terre sainte. Un parterre maculé de blancheur, aucune lésion de bataille àdéplorer en ce lieu. Dur à croire que ce santuaire avait un milénaire si ce n'est d'avantage. Tandis qu'elle dévalait l'unique escalier, elle songea méfiante à cette topographie vide. Comme délaissée par ses occupants, où diable étaient ces féroces gardiens ? Aussi une chose la frappa tendis qu'elle mémorisaiten sa descente, l'état des lieux. Il y avait un cercle dessiné, un peu plus loin. Là aurait pu se tenir un autel renfermant l'artéfact maudit. Mais il n'y avait rien dans cette sale totalement vierge. Hormis deux portes, celles-ci éveillant tant la curiosité du Tengu que sa méfiance. Peut-être là un subterfuge pour diviser les troupes, peut-être y avit-il d'autres pièces à visiter. Et dans ce cas peut-être que la relique se trouvait en un de ces autres pièces. L'affaire était tentente, s'ils se divisaient ils auraient plus de chance de la trouver et plus vite. Le temps pouvant jouer dans leur survie. Cepedant ce qui freina cette idée de campagne fut bien qu'elle envisagea que l'une de ces portes soit piégée, voire même les deux. Et que l'épreuve doivent se dérrouller ici même. Patience étant mère de vertu, elle se proposa d'attendre toute sa légion de bras cassés et d'esprits réfractaires. On avait arbitrairemnt décidé qu'elle serait le général de cette campagne. Ils avaient là mal interprétés sa harangue.

Mais cela ne fit rien, Suzuki lui éveilla l'envie de le faire. Au moins pour lui prouver à lui et à tous qu'ils pouvaient avoir confiance en elle. Ainsi elle se retourna vers l'assemblée, ils étaient enfin tous là et le portail sembla avoir disparu. Ceci ne lui faisant ni chaud ni froid, elle avait gardé les mains dans les poches depuis qu'elle l'avait passé du reste. « Une pièce vide, cela vous laisse encore du temps pour vous préparer mentalement. Et pour ce qui est de ses portes, et bien l'une comme l'autre peuvent être salutèrent comme mortelles. Les deux pouvant l'être également. Nous pouvons tous aussi bien attendre ici qu'un signe apparaisse. Le temps nous fait cependant défaut et la précipitation comme l'attente ne nous sont pas permises. Aussi plutôt que de foncer droit dans un piège ou au hasard, je vous demande d'attendre un peu, que le pendule nous guide ... » Sur cette dernière phrase elle extirpa se sa poche droite le dit pendule. Et tendant son bras elle se positiona de sorte à ce que ce objet majique puisse tourner lentement dans l'air. Elle ferma également les yeux, lui adonnant son entière confiance. Il lui faudrait aussi nommé ce cher ami Hiboux, quoique il pourrait déjà posséder un patronyme. « Alors mon ami, quelle porte est bonne ? » Si le majestueux volatile ne les avait pas suivit jusqu'ici, peut-être entendrait-il sa demande, se disant que leurs esprits pouvaient se connecter et se répondre grâce au pendule. Pour les autres elle pourrait sembler bel et bien folle. Mais qu'importe, il n'est pas donné à tous d'avoir la foi. Et pourraient-ils seulement attendre ou commettraient-ils un folie en se rebellant contre leur état-major ? Elle ne prétait plus attention à rien, faisant le grand vide en elle pour presque entrer en transe ...

Edit Mizo': vous êtes tous cependant libre de faire ce que vous voulez malgré les actions de Celira hein !

Seki était entrée dans cette pièce, ne l'observant même pas...elle était vide comme si c'était le début d'une épreuve. Pourtant, il observa Celira ...et ses combines qui ne signifiait pas grand chose pour lui. Ce qu'elle faisait ne l'intéressait pas du tout...elle l'avait déjà assez énerver comme ça aujourd'hui. Il observa les deux portes, écoutant attentivement les bruits qui en venaient. Il se mit à sourire.

-Bon...à gauche.

Sans attendre ce que Célira déciderait avec son joujou, il allait pour traverser la porte de gauche. C'était la pièce dont les bruits semblaient les plus fort. De toute façon, fallait se décider et Seki se fiait à son instinct de survie qui était plus développer de la moyenne. Il n'attendait pas les autres, passant la porte, faisant face au destin qu'il avait choisi.

Une guerre pour le pouvoir ? Suzuki secoua la tête de dépit. Ces pauvres enfants n'avaient rien compris ; comme quoi la lucidité ne faisait pas de préférence...

Suzuki avait consenti à ce que le groupe soit mené à condition que cela soit fait correctement ; et il fut surpris de constater que cette fois Celira ne fonça pas tête baissée, mettant ainsi le groupe en danger. Au contraire elle opta pour une option des plus sage.
Mieux encore elle ne s'était pas laissée déstabiliser par la menace de Suzuki, ce qui prouvait qu'elle possédait un minimum de qualités : rien a voir avec la masse d'élèves qui avaient réagit violemment et qui se montraient méfiant envers le personnel encadrant.

Suzuki observa les lieux ; son choix était déjà fait depuis qu'il s'était décidé à franchir la porte mais il en avait la confirmation : son objectif était de permettre à un maximum de personne de rester en vie et pour cela il reniait ses principe de démon. Il ne tuerait donc personne de l'école.

Il se plaça dans une position avancée pour se trouver un peu plus proche des portes que tous les élèves : simple mesure préventive. Car si tout le monde avait perdu ses pouvoirs, lui n'en avait pour ainsi dire aucun, et de ce fait sa force sous forme humaine était toujours largement au dessus de n'importe qui actuellement dans la pièce. Il s'était donc octroyé le rôle de protecteur.

Sauf que comme d'habitude, il y avait un boulet pour ne rien faire comme les autres... Ha pardon DEUX boulets... Et qui mettaient probablement tout le monde en danger.

-Ils sont grands, s'ils doivent mourir, priez pour qu'Alouka soit clémente...

La messe était dite, il ne sauverait pas les têtes brûlées au détriment de la majorité.

-Pour les autres on gagne du temps pour que Celira nous donne une solution, si vous voulez suivre ces idiots je ne vous retient pas...

Il ajouta ensuite :

-Ceux qui savent encaisser les coups, avec moi ; les mages, les faibles et les trouillards restez en retrait. Les épéistes et autres bretteurs prenez formation en arc de cercle autour des non-combattants !

Il avait parlé de sa voix grave et imposante ; il savait pertinemment que d'autres ne supportant pas l'autorité, souffrant d'idiotie tel qu'une attitude rebelle ou contestataire, n'en ferait qu'à leur tête. Mais si on l'écoutait, la formation permettrai au moins fort d'être défendu, et le groupe entier protégé par la première ligne. Pendant ce temps Celira pourrait décrypter le pendule avec lequel elle jouait.

-Combien de temps encore pour ce truc...? A cause des deux crétins on aura pas le loisir d'attendre que la famille hibou se décide...

Toujours à l’affût, il guettait alternativement les deux portes et ce qui pouvait en sortir. Prêt a foncer qur n'importe quelle bestiole dans le seul but de gagner du temps...

[Hé ouai je fais un double poste entre ceux de Mizo, Mouahahaha]

Ca va que tu fais rien d'important sinon tu te serais fait crucifier

Suzuki ne s'attendait pas à une réaction aussi dicipliné des élèves, mais là encore certains ne semblaient pas décidé et pouvait faire tout capoter. Célira se chargeait du stratégique, et lui avait prit l'opérationnel. Et soucieux de s'en sortir avec le minimum de perte il fronça les sourcil quand Priecia vint lui évoquer leur nombre.

Il reconsidéra la formation : elle avait raison, si l'ennemi surgissait dans leur dos, ce serait un vrai massacre ; mais la configuration de la salle ne le permettait pas vraiment, ou du moins les chances étaient faibles.

-Je vois bien... Mais on a pas d'autre choix... Ou du moins j'en vois pas...

Il plongea ses yeux dans ceux de la blonde et sur un ton très sérieux et avec force il prit sa main dans la sienne avant de dire :

-Je ne tomberait pas... Je le jure devant mon Maître.

Et comme une prière il dit pour lui même en regardant de nouveau les deux portes :

-Jusqu’à la mort et la destruction, je te servirais Abaddon...

Il découvrait doucement la salle ou il avait attérit. Il s'était figer sur place en voyant l'étendue d'eau qui était face à lui. Voila quelque chose de bien dangereux pour un vampire…Il observait doucement la fine étendue de sable qui traversait cette mer. Puis, l'eau qui était calme, bien trop calme. Elle cachait donc bien quelque chose, c'était toujours comme ça dans ce genre de situation. Etait-ce une eau profonde? Elle pouvait en tout cas cacher des monstres grand comme petit. Et une fois sur ce tronçon de sable, il faisait une cible parfaite pour les jolies créatures qui pouvaient habiter ce lieu humide…mais il n'allait pas revenir en arrière. Apparemment personne ne le suivait. Il était seul face à cette épreuve.

Une seule…une seule chute dans l'eau et c'était certainement fini pour lui. La prudence était de mise, car il n'avait pas le droit à l'erreur. Il pouvait compter sur une chose. Son instinct animalier qui était très développé et il sentait que dans ces profondeurs, des yeux étaient river sur lui. The ball en main, il eut un petit sourire nerveux. Il repensait comme il s'était mal senti pendant le naufrage sur sa planche de bois…Sensation affreuse, il ne voulait plus la ressentir.

Il se retourne de quelques degrés, regardant derrière, la pièce ou il était avant. Comment se débrouillaient les autres? Mais pourquoi pensait-il à eux alors qu'il était dans un sacré pétrin? Concentration et attention étaient de mise. Fallait-il courir ou plutôt marcher tranquillement. C'était…fou. Se mettre à découvert comme ça, c'était la chose qu'il détestait le plus!

Bon…hop! Il est peut être temps de se lancer non? Il commença à mettre un pas devant l'autre, marchant sur cette ligne de sable. S'avancer trop rapidement, ce serait louper un virage s'il y en avait un…il ne pouvait pas avoir la tête partout…Avoir l'oeil sur le chemin, l'eau et son instinct en même temps, c'était beaucoup, alors allons y prudemment, jusqu'au premier virage.